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Archive for mars 2017

Un couple de l’Utah est poursuivi pour avoir maltraité trois garçons dont il s’occupait en tant que famille d’accueil. 

Dans leur famille d’accueil, le calvaire de trois petits garçons

© DR Dans leur famille d’accueil, le calvaire de trois petits garçons

Matthew et Diane Seifert Waldmiller, âgés de 40 et 41 ans ont été mis en examen mardi dans l’Utah pour avoir abusé des enfants dont ils s’occupaient. Le couple, membre d’un organisme de familles d’accueil, est accusé d’avoir maltraité trois petits garçons de 7, 10 et 11 ans. D’après le «Standard-Examiner of Ogden», ils étaient enfermés de longues heures dans une chambre, les mains liées derrière le dos et un adhésif sur la bouche.

La police de Roy, où la famille vivait, a décrit la pièce comme une chambre vide avec trois matelas sans draps sur le sol et aucun vêtement à disposition. «Il n’y avait pas d’ampoule dans la lampe. La ventilation avait été recouverte pour que l’air ne pénètre pas dans la pièce. La seule fenêtre extérieure de la chambre était peinte en noir et condamnée de sorte qu’on ne puisse pas l’ouvrir. Et la porte était verrouillée de l’extérieur», ont indiqué les autorités. Des griffures faites par des ongles ont aussi été découvertes près de la porte d’entrée. Les agents qui ont trouvé ce triste endroit ont aussi décrit une forte odeur d’urine. Selon la chaîne locale KUTV, pour «éduquer» les trois enfants, les parents d’accueil avaient mis en place un régime alimentaire très particulier. Les enfants devaient ingérer du riz trop salé et trop poivré et n’avaient pas le droit de boire avant une certaine heure de la journée.

Des traces de coups

C’est un appel anonyme qui a permis à la police de remonter jusqu’à cette famille. Cette personne bien informée qui s’est présentée comme un proche avait expliqué que trois petits garçons étaient enfermés dans une pièce et qu’ils étaient obligés de porter des couches. Le 23 mars, les trois garçons ont été interrogés par les services sociaux et ont expliqué avoir été battus régulièrement. Ils ont également fait savoir que s’ils pleuraient on leur retirait leurs vêtements et qu’ils étaient ensuite forcés à faire de l’exercice s’ils voulaient manger ce fameux riz. Examinés par des médecins, l’un des garçonnets présentait un oedème sur une jambe, une bosse à la tête, des plaies sur les mains et des ecchymoses. Un autre portait des traces de coups sur un bras. Tous étaient trop maigres pour leur âge. Une quatrième enfant de 2 ans vivait avec eux mais il n’y a pour l’instant pas de signes de maltraitances sur elle.

«Ces gens doivent être tenus pour responsables de ce qu’ils ont fait», a commenté la grand-mère biologique des enfants. Les trois frères avaient été placés en famille d’accueille après la mort de leur mère biologique. Leur grand-mère n’avait pas été en mesure de s’occuper deux à cause de son état de santé. Pendant deux ans, ils ont vécu dans une première famille qui avait tout fait pour garder le contact avec leurs proches. Mais une fois chez les Waldmiller, ils ont vu leurs liens avec leur famille biologique être coupés. Matthew et Diane Waldmiller ont été incarcérés. Leur caution a été fixée à 30000 dollars

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Ce que les directeurs funéraires ne veulent pas que vous sachiez à propos du coût réel des funérailles

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Les coûts des funérailles augmentent de façon spectaculaire – et vos proches pourraient être laissés à assumer la facture.

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Un plan d’obsèques peut vous protéger contre ceci. Vos proches et vous serez soulagés de ce stress financier et émotionnel, il garantira que le coût de vos funérailles ne montera pas en flèche au fil du temps. Si vous n’avez pas assez d’argent économisé, ou votre assurance-vie ne couvre pas les obsèques, votre famille devra payer ces énormes dépenses. Heureusement, il y a une solution simple.

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Diapositive 1 sur 5: François Fillon, le dangerSi dans la presse étrangère, l’élection présidentielle se suit comme une bonne série, François Fillon en est sans nul doute le personnage principal et l’affaire Pénélope, le climax. L'épouse du candidat a ainsi été propulsée sur le devant de la scène internationale, sans avoir rien demandé. « L’élection présidentielle se situe quelque part entre un roman de Balzac et une série télé : un peu Comédie humaine, un peu House of Cards », a ainsi résumé le Corriere della Serra en Italie.La fin de la démocratieAvant les scandales, les journaux internationaux parlaient du vainqueur de la primaire de la droite en ces termes : « catholique assumé », « sérieux », « le Thatcher français »… Puis, patatras, la fiction a dépassé la réalité. Dès les premiers frémissements de l’affaire Pénélope, les médias étrangers crient au scandale, d’autant plus que le candidat persiste à se présenter. Le quotidien suisse Le Temps ne mâche pas ses mots : « Dans d’autres pays, la pression à sa démission aurait été immédiate ». Outre-Rhin, le Frankfurter Allgemeine Zeitung se moque de ce François Fillon qui prétendait être le candidat de l’honnêteté et de la transparence : « Monsieur Propre n’existe plus », a écrit le quotidien en lettres capitales. La chute du candidat LR a donc été rapidement écrite : « François Fillon ressemble de plus en plus à un candidat posthume. Sa campagne s’évapore… », a assuré The Telegraph.Le nouveau Trump La comparaison ne s’est pas faite attendre. Voyant François Fillon nier, sans sourciller, toutes les accusations et rejeter la faute sur les journalistes, le journal belge Le Soir a montré que « le candidat du parti Les Républicains s’est mis dans le sillage des populistes à la Trump, Le Pen, Wilders, Kaczynski et autres Orban ». Selon de nombreux quotidiens européens, l’ancien Premier ministre serait un « partisan de la théorie du complot » (Die Welt) qui « imiterait le populiste Berlusconi » (Blitz) et même « la rhétorique des dirigeants autoritaires du monde arabe » (L’Orient-Le-Jour). François Fillon est donc devenu « un homme dangereux pour la démocratie » (Le Soir), d’autant plus que ses couacs semblent pousser Marine Le Pen vers la victoire.

  • Diapositive 2 sur 5: Marine Le Pen, le bon petit diableLa candidate du FN intrigue les médias étrangers autant qu’elle les effraie. Sur fond de Brexit au Royaume-Uni et de « Trumpocalypse » aux États-Unis, tous les regards sont rivés sur une France qui semble prête à céder, à son tour, aux sirènes de l’ultranationalisme. Avec cette élection et la bonne position de Marine Le Pen dans les sondages, la presse étrangère semble vouloir prendre la température de cette menace qui s’étend à de nombreux pays européens. Régulièrement, l’héritière de la dynastie Le Pen fait le une des quotidiens, surtout en Allemagne où son arrivée à l’Élysée est considérée comme le pire des scénarii.« Vive la haine »« Des milliers de personnes ont agité des drapeaux en scandant 'On est chez nous' et 'Marine présidente" pendant son discours ». Lorsque The Independant vit un meeting du Front National de l’intérieur (en l’occurrence, celui de Lyon le 5 février 2017), il retient surtout la ferveur xénophobe des militants. En une du quotidien britannique ce jour-là, une Marine Le Pen triomphante, et trois mots écrits en français : « vive la haine », plutôt que vive la France.La métamorphose du diable Le pays du Soleil-Levant se passionne également pour l’élection française. À un mois du scrutin, une émission japonaise a donc tenté de schématiser les turpitudes politiques hexagonales, à l’attention de ses téléspectateurs. Pour introduire la candidate Le Pen, les présentateurs ont fait sortir sa photo d’un œuf pondu par un coq 100% français – devenu visiblement poule entretemps. Désireux de faire rapidement les présentations, ils ont qualifié le Front National de « Parti du diable », avant de conclure que Marine Le Pen avait justement réussi à le dédiaboliser, du moins pour une large partie de la société. Lucide.De Trump à PoutineOutre-Atlantique, Marine Le Pen est représentée comme un fac-similé de Donald Trump. « L'image noire d'une France affaiblie troublée par les bureaucrates et les burqas a trouvé un large écho aux thèmes abordés outre-Atlantique », a écrit le New-York Times en début de campagne. Mais c’est également dépeint comme un suppôt de Poutine que la candidate fait souvent parler d’elle. Après la visite de la présidente du FN à Moscou, la presse russe n’a, quant à elle, pas manqué d’éloges à son propos, la qualifiant de « politicienne expérimentée et talentueuse ».
  • Diapositive 3 sur 5: Benoît Hamon, le petit rêveurAvant sa victoire à la primaire de la gauche, le presse étrangère ne connaissait même pas son nom. Au lendemain de ce scrutin, en janvier 2017, les divers articles ne manquaient donc pas de qualificatifs pour ce petit nouveau. « L’Astérix européen », s’exclamait El Pais. « Le petit homme aux grandes idées », s’amusait The Times.L’utopisteLe revenu universel de base et la légalisation du cannabis sont les deux points du programme de Benoît Hamon qui fascinent en dehors des frontières. La Stampa, le quotidien italien, voit en lui « un pur produit de la classe moyenne », tandis que The Guardian le compare immédiatement à Jeremy Corbyn, le chef du Parti travailliste outre-Manche, et le Los Angeles Times en parle comme le « Bernie Sanders français ». En Allemagne, le candidat du PS n’est considéré que comme un grand rêveur sans expérience, incapable de diriger un pays. « Son programme est une utopie sociale. L’analyse est trop inachevée, les conceptions trop peu structurées. C’est surtout une invitation à rêver », écrit le Die Welt. Mais si Benoît Hamon arrive à intéresser, un tant soit peu, l’étranger, c’est grâce à Thomas Piketty, l’économiste français internationalement reconnu, qui s’est rangé derrière lui. C'est pourquoi, même The Indian Express a daigné lui consacrer un article.
  • Diapositive 4 sur 5: Emmanuel Macron, l’idole des jeunes Il n’a plus à convaincre les pays voisins. Emmanuel Macron est le candidat favori de la presse étrangère. Ce self-made-man convaincu a également séduit la plupart des pays anglo-saxons. « Il parle anglais et aime l’Allemagne, c’est l’homme politique français que l’Europe attendait », se réjouit Foreign Policy, aux États-Unis. Au Portugal, l’hebdomadaire L’Expresso ne tarit pas d’éloges à son propos : « Il possède un charisme indéniable et assume sans complexe une posture messiannique, voir christique ».Glamour, toujoursRégulièrement en couverture de magazines de divertissement en France, Emmanuel Macron incarne la peoplisation de la politique qui plaît tant quand on regarde cette élection présidentielle de l’extérieur. Ainsi les journalistes d’ailleurs s’attardent plus sur son physique de jeune premier, ses aspirations bonapartistes ou sa fougue nouvelle que sur son programme. Mais c’est surtout sa relation avec Brigitte Trogneux qui passionne, tant elle est romanesque. Dans l’émission politique de la chaîne japonaise NHK, le fondateur de En Marche ! a été directement introduit par une photo de son épouse qu’une invitée a cru être… sa mère. Ainsi, ce couple – totalement original dans le petit monde politique français – a été comparé aux Kennedy, dès septembre 2016 par El Mundo. Le Die Welt appuie aussi ce parallèle qui lui semble évident : « Son discours rappelle celui de John.F.Kennedy : ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, mais ce que tu peux faire pour ton pays ».Macron-mania… sauf en RussieDès sa démission du gouvernement Hollande, Macron est devenu une superstar hors des frontières. Mis à part en Russie, où l'on se montre plus mitigé vis-à-vis de ce candidat imprévisible qui pourrait battre Marine Le Pen et François Fillon, les deux favoris du président Poutine. « Mais qui est donc cet Emmanuel Macron qui a surgi sur le podium politique de la Ve République comme un diablotin sort de sa boîte ? », s’est ainsi interrogé le site Vzgliad, annonçant la couleur de l’opinion publique. Le magazine Ekspert le désigne également comme « l’instigateur et le principal bénéficiaire de l’affaire Fillon ». A contrario de Marine Le Pen, Emmanuel Macron semble représenter tout ce que dénigre la presse russe : « un mondialiste pro-américain » et « un partisan du renforcement de l’intégration européenne ».
  • Diapositive 5 sur 5: Jean-Luc Mélenchon, l’inattenduVieux briscard de la politique, Jean-Luc Mélenchon apparaît pourtant comme un nouveau visage pour les médias étrangers, qui semblent le découvrir avec cette élection présidentielle 2017. « Le candidat Jean-Luc Mélenchon n’a pas manqué l’occasion de se faire remarquer pour son entrée dans la campagne », souligne le journal portugais Observador. Pour cause, l’hologramme de son meeting simultané à Lyon et à Paris, a été guetté, tant on a souligné sa modernité. Le candidat de la « France insoumise » est donc devenu la surprise politique de ce début d’année, capable des meilleurs « coups de com’ », analyse La Libre Belgique. L'engouement est tel que même le New York Times lui a tiré le portrait, titré, en toute simplicité, « la nouvelle icône française ».Le surprenantDepuis le débat du 20 mars 2017, le phénomène Mélenchon se répète. Le représentant de l’extrême gauche avait alors assuré le show, ce qui n’avait pas manqué d’amuser de nombreux quotidiens internationaux. The Guardian s’est donc intéressé au surprenant Mélenchon, qui ne cesse de monter dans les sondages et qui pourrait, selon le quotidien, être l’ultime coup de théâtre de cette élection des plus dramaturgiques.

 

Diapositive 1 sur 5: François Fillon, le dangerSi dans la presse étrangère, l’élection présidentielle se suit comme une bonne série, François Fillon en est sans nul doute le personnage principal et l’affaire Pénélope, le climax. L’épouse du candidat a ainsi été propulsée sur le devant de la scène internationale, sans avoir rien demandé. « L’élection présidentielle se situe quelque part entre un roman de Balzac et une série télé : un peu Comédie humaine, un peu House of Cards », a ainsi résumé le Corriere della Serra en Italie.La fin de la démocratieAvant les scandales, les journaux internationaux parlaient du vainqueur de la primaire de la droite en ces termes : « catholique assumé », « sérieux », « le Thatcher français »… Puis, patatras, la fiction a dépassé la réalité. Dès les premiers frémissements de l’affaire Pénélope, les médias étrangers crient au scandale, d’autant plus que le candidat persiste à se présenter. Le quotidien suisse Le Temps ne mâche pas ses mots : « Dans d’autres pays, la pression à sa démission aurait été immédiate ». Outre-Rhin, le Frankfurter Allgemeine Zeitung se moque de ce François Fillon qui prétendait être le candidat de l’honnêteté et de la transparence : « Monsieur Propre n’existe plus », a écrit le quotidien en lettres capitales. La chute du candidat LR a donc été rapidement écrite : « François Fillon ressemble de plus en plus à un candidat posthume. Sa campagne s’évapore… », a assuré The Telegraph.Le nouveau Trump La comparaison ne s’est pas faite attendre. Voyant François Fillon nier, sans sourciller, toutes les accusations et rejeter la faute sur les journalistes, le journal belge Le Soir a montré que « le candidat du parti Les Républicains s’est mis dans le sillage des populistes à la Trump, Le Pen, Wilders, Kaczynski et autres Orban ». Selon de nombreux quotidiens européens, l’ancien Premier ministre serait un « partisan de la théorie du complot » (Die Welt) qui « imiterait le populiste Berlusconi » (Blitz) et même « la rhétorique des dirigeants autoritaires du monde arabe » (L’Orient-Le-Jour). François Fillon est donc devenu « un homme dangereux pour la démocratie » (Le Soir), d’autant plus que ses couacs semblent pousser Marine Le Pen vers la victoire.

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Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, le 15 janvier 2017.© REUTERS/Ronen Zvulun Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, le 15 janvier 2017.

C’est une première depuis plus de vingt ans. Le cabinet de sécurité israélien a approuvé la création d’une nouvelle colonie. C’était une promesse du chef du gouvernement, Benyamin Netanyahu, qui satisfait là l’aile droite de sa coalition.

Cela fera deux mois ce samedi… Le 1er février, le gouvernement israélien évacuait la colonie d’Amona, un avant-poste illégal aux yeux du droit international mais aussi de la loi israélienne et dont la Cour suprême avait ordonné la destruction.

Promesse

En appliquant cette décision de justice, l’exécutif allait contre une partie de son électorat. Benyamin Netanyahu avait donc promis aux 40 familles d’Amona qu’une nouvelle colonie serait créée pour eux.

Depuis, le Premier ministre tardait à réaliser cette promesse. Il disait vouloir attendre la conclusion d’un accord sur la colonisation avec la nouvelle administration américaine, car Donald Trump lui a demandé de la retenue sur ce dossier. Mais plusieurs aller-retours d’émissaires entre Washington et Jérusalem n’ont pas encore permis de définir des règles qui conviendraient aux deux pays.

Première colonie depuis Oslo

En attendant, Benyamin Netanyahu se trouvait sous la pression du parti pro-colon Le Foyer juif au sein de sa coalition. Sous la pression aussi des anciens habitants d’Amona dont certains ont entamé une grève de la faim il y a quatre semaines. Une pression qui l’a poussé à créer la première colonie depuis les accords d’Oslo qui posaient les bases d’un Etat palestinien

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Mise en cause dans un vaste scandale de corruption, l’ancienne chef de l’Etat sud-coréen a vécu une audience marathon avant de se voir arrêter, sur décision du tribunal.

L'ex-présidente sud-coréenne Park Geun-Hye, à son arrivée au tribunal de Séoul, le 30 mars 2017.

© afp.com/Ahn Young-joon L’ex-présidente sud-coréenne Park Geun-Hye, à son arrivée au tribunal de Séoul, le 30 mars 2017. La chute se poursuit pour l’ancienne présidente de Corée du Sud. Park Geun-hye a été arrêtée dans la nuit de jeudi à vendredi dans le cadre du scandale pour corruption ayant mené à sa destitution. Après une audience marathon jeudi, le tribunal central de Séoul a émis un mandat d’arrêt contre l’ex-présidente pour corruption et abus de pouvoir, ainsi que pour avoir livré des secrets gouvernementaux. Une étape de plus dans sa disgrâce.

Park Geun-Hye, qui se trouvait dans les bureaux du procureur dans l’attente de la décision du tribunal, a été conduite dans un centre de détention près de Séoul. « Il est justifié et nécessaire d’arrêter (Mme Park), étant donné que des accusations clés sont étayées et qu’existe le risque de destruction de preuves », a expliqué le tribunal dans un communiqué.

Sous l’influence de Mme Choi

Cette descente aux enfers a débuté en milieu d’année dernière avec les révélations sur les agissements de son amie de 40 ans et sulfureuse confidente de l’ombre, Choi Soon-Sil, qui n’occupait aucune fonction officielle. Cette dernière est actuellement en procès, notamment pour avoir profité de sa proximité avec la présidente afin de soutirer des millions de dollars à des conglomérats sud-coréens.

Les révélations s’accumulant, l’Assemblée nationale a décidé début décembre de destituer la présidente afin de lever son immunité qui empêchait la justice d’enquêter sur elle. Cette destitution a été validée le 10 mars par la Cour constitutionnelle, ce qui a permis son audition marathon, la semaine dernière pendant 21 heures, par des magistrats du parquet qui ont finalement requis son arrestation.

Complice présumée de Mme Choi, Mme Park est accusée d’avoir « abusé de ses énormes pouvoirs et de son statut de présidente pour recevoir des pots-de-vin des entreprises, ou pour violer les principes de la liberté de gestion des entreprises », a affirmé lundi le parquet qui l’accuse en outre d’avoir « fait fuiter des informations confidentielles importantes sur des affaires d’Etat ».

Des présidents emprisonnés avant elle

Mme Park est le troisième ancien chef de l’Etat à être arrêté dans une affaire de corruption en Corée du Sud. Les anciens hommes forts Chun Doo-Hwan et Roh Tae-Woo ont purgé des peines de prison pour ce motif dans les années 1990. Le président Roh Moo-Hyun, élu démocratiquement, s’était suicidé en 2009 durant une enquête pour corruption le visant lui et sa famille.

L’ex-présidente de 65 ans rejette toutes les accusations et accuse son amie d’avoir abusé de sa confiance. Mme Choi est soupçonnée de s’être servie de son influence sur la présidente pour contraindre divers conglomérats, dont le mastodonte Samsung, à verser près de 70 millions de dollars à deux fondations sous son contrôle.

Il est aussi reproché à l’ancienne présidente d’avoir accordé des faveurs politiques aux capitaines d’industrie qui s’étaient montrés généreux avec Mme Choi, parmi lesquels Lee Jae-Yong, l’héritier de Samsung. M. Lee a placé en détention provisoire et inculpé. L’ex-présidente est en outre accusée d’avoir laissé sa confidente, qui n’a pas été plus loin que le lycée et n’avait aucune habilitation en matière de sécurité, mettre son nez dans certaines affaires d’Etat, y compris les nominations au sommet.Une présidentielle anticipée aura lieu le 9 mai.

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Un homme a été mordu au cou par son chien lors d’un entretien avec deux reporters de la BBC. Il en est mort deux heures plus tard à l’hôpital.

Le Parisien: Illustration. Les morsures d'un Staffordshire bull terrier ont été fatales à son maître.

© AFP. Illustration. Les morsures d’un Staffordshire bull terrier ont été fatales à son maître.

Les morsures de son propre chien, un Staffordshire bull terrier, lui ont été fatales. Lundi 20 mars, alors qu’il était interrogé par deux journalistes de la BBC, un homme âgé de 41 ans a été mordu dans le nord de Londres (Royaume-Uni), rapporte le «Guardian». Hospitalisé de toute urgence, il est mort deux heures après son admission.

Le chien a-t-il été perturbé par la présence de deux journalistes autour de son maître ? Les deux reporters l’interrogeaient dans le cadre d’un documentaire sur la Met (Metropolitan Police Service, la police de Londres), lorsque le toutou lui a sauté à la gorge.

«J’ai entendu crier : Enlevez-le-moi ! Enlevez-le-moi de là !’», raconte un voisin. « Il perdait beaucoup de sang saignait du cou. Il y a avait beaucoup de sang ». Il aurait succombé à un choc hypovolémique, c’est-à-dire à une perte massive de sang et à des blessures sur les voies aériennes. D’après un voisin, le chien s’en était pris à son maître «il y a six ou sept mois en le mordant à la jambe».

Le chien a été confié dans un chenil sécurisé. Il pourrait être euthanasié

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Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, visite une école à Pierre-Bénite près de Lyon le 14 mars 2017.
© Copyright 2017, L’Obs Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, visite une école à Pierre-Bénite près de Lyon le 14 mars 2017. Laurent Wauquiez a profité d’un voyage en Chine pour y récolter des fonds pour François Fillon. Aux frais de la région Auvergne-Rhône-Alpes ?

Une enquête préliminaire a été ouverte fin février par le parquet de Lyon pour « détournements de fonds publics ». Au centre de l’enquête, le président de région LR Laurent Wauquiez, selon des informations de Rue89 Lyon.

Les enquêteurs s’intéressent à un voyage de Laurent Wauquiez à Shanghai du 12 au 17 février. Alors qu’il s’y rendait en tant que président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, il avait participé sur place à une soirée de soutien et d’appel aux dons pour François Fillon…

De quoi alimenter les soupçons : la région a-t-elle participé au financement de la campagne du candidat LR ? L’opposition régionale avait alerté sur ce point et alerté le procureur de la République, la commission nationale des comptes de campagne et le trésorier payeur régional.

Stéphane Gemmani, conseiller régional du groupe socialiste et démocrate, à l’origine de ces saisines, écrivait sur son blog :

« Ce mélange des genres entre l’intérêt général de la Région, qu’il est censé représenter, et les intérêts particuliers et partisans de la campagne du candidat Fillon n’est pas acceptable. »

Bientôt classée ?

« Nous sommes complètement transparents avec les autorités demandeuses et répondons à tout », affirme à Rue89 Lyon l’entourage du président de région.

A la publication par le « Canard enchaîné » de l’affaire de la quête à Shanghai, ce même entourage assurait déjà n’avoir pas dépensé « un euro d’argent public » pour cette mission.

Une réquisition de documents a été menée par la police judiciaire au siège du Conseil régional, à Lyon, le 23 mars, selon le site d’info locale qui précise également que le dossier pourrait être classé par la justice dans les prochaines semaines

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Madagascar: Moramanga, second haut lieu de l’insurrection de 1947 (2/5)

La place du 29-Mars 1947 à Moramanga, la ville où a débuté l’insurrection. Jeanne Richard / R

Suite de notre série de reportages à Madagascar, 70 ans après le soulèvement contre l’empire colonial français… Nous allons ce matin à Moramanga, second haut lieu de l’insurrection de 1947. Située à 100 km à l’est de la capitale, cette localité est l’un des deux points de départ de la lutte armée des organisations secrètes qui souhaitent libérer le pays de la tutelle française. L’insurrection éclate dans la nuit du 29 mars 1947, simultanément à Manakara et Moramanga, avant de s’étendre à d’autres districts. A Moramanga, les insurgés s’attaquent au camp militaire français pour prendre les armes, et investissent la gare et l’hôtel Larrieu où dorment la plupart des officiers français de la garnison. Mais Moramanga voit aussi par la suite l’un des épisodes les plus marquants de la violente contre-insurrection française : les troupes coloniales tirent sur 3 wagons plombés où sont enfermés 166 militants politiques alors prisonniers. A Moramanga, la répression durera un an et demi. Dans cette petite ville à cheval entre les hauts plateaux et la côte, que reste-t-il de cette mémoire collective ? Retour sur les lieux, avec ce Reportage Afrique de Sarah Tétaud.

 

 

 

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Madagascar commémore aujourd’hui les 70 ans de l’insurrection malgache contre la colonisation française. C’est un jour férié dans le pays. Des commémorations officielles ont été organisées à Antananarivo, la capitale, et à Moramanga, dans l’est du pays.

8h30 devant la stèle d’Ambohijatovo. Le chef de l’Etat malgache, Hery Rajaonarimampianina, dévoile la plaque commémorative du 70e anniversaire de l’insurrection.

A ses côtés, ministres, parlementaires et anciens combattants. Les Tananariviens, eux, sont venus peu nombreux. Ils sont environ 250 à s’être déplacés. Michèle, une habitante du quartier, en fait partie : « Je suis venue spécialement aujourd’hui parce que c’est quand même le 70e anniversaire. Il faut transmettre l’histoire aux jeunes. Par exemple, il y a mes enfants qui sont venus avec moi. Et l’histoire se perd de jour en jour. Donc il est grand temps d’illuminer la flamme du patriotisme, spécialement pour les jeunes. »

Une opinion que partage aussi Tsiory, 32 ans. Ce passé, il ne faut pas l’oublier, explique-t-il : « C’est vraiment très important. Je n’étais pas né à ce moment-là, mais à travers la célébration, je sens quand même la combativité et aussi la persévérance de nos ancêtres qui ont vraiment combattu en ces temps-là. »

Mais la plupart des Tananariviens ont vaqué à leurs occupations quotidiennes et ne se sont pas bousculés pour assister à la commémoration de l’insurrection.

La pension des anciens combattants sera revalorisée

A Moramanga, dans l’est du pays, la cérémonie a été plus suivie par la population. Les habitants se sont rassemblés en masse sur la place de la gare.Ville symbolique de l’insurrection, c’est de là qu’est partie la révolte des combattants malgaches la nuit du 29 mars. C’est aussi dans cette ville qu’Hery Rajaonarimampianina a prononcé son discours.

Il a appelé les Malgaches au rassemblement : « Ne laissons pas s’éteindre la flamme qui brûle en chacun de nous. Cette flamme, c’est notre Patriotisme à tous. C’est par ce noble sentiment que les combattants de 1947 nous ont légué l’indépendance et la liberté. Et nous tous, comment allons prouver notre patriotisme ? C’est par la solidarité et l’altruisme qu’il doit se manifester », a-t-il déclaré. Il a également promis aux anciens combattants de tripler leur pension, qui est actuellement de neuf euros par mois.

RFI commémore le 70e anniversaire de l’insurrection de Madagascar

Jeannot Rasoloarison: à Madagascar en 1947, «on peut parler de guerre»

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