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Archive for novembre 2019

jean MarcLorentz

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DYSFONCTIONNEMENT L’ISS est équipée de deux toilettes, mais aucune de ces installations ne peut être utilisée actuellement, a fait savoir à la NASA le chef de mission italien

La Station spatiale internationale (photo dillustration)
La Station spatiale internationale (photo dillustration) — Geeko

Pas de chance. Les astronautes en mission dans la Station spatiale internationale (ISS) font actuellement face à une panne simultanée des deux toilettes présentes dans la base. Celles de la partie russe, dans la navette Soyouz, et celles de la partie américaine sont toutes les deux inutilisables, rapporte ce mercredi l’agence russe RIA Novosti, relayée par le site spécialisé Tom’s guide.

Sputnik Insight @Sputnik_Insight

All toilets are out of order on the ISS, station commander Luca Parmitano @astro_luca told ground specialists at the NASA’s mission control center, and astronauts will be using space diapers in the near future5910:16 – 27 nov. 2019

La NASA a été informée de cette situation délicate par le commandant italien de la mission actuelle, Luca Parmitano. Ce n’est pas la première fois dans l’histoire de la base spatiale que les astronautes sont confrontés à ce problème de sanitaires. En février dernier, une fuite d’eau était apparue au niveau des toilettes de la station, précise France Inter.

Aller au petit coin n’est pas si anodin

En 2016, à peine arrivé à bord, Thomas Pesquet avait dû lui aussi s’atteler à la réparation de l’installation. Dans une bande dessinée récemment parue, le Français expliquait avec humour comment s’assurer de ne pas laisser « d’échappées », grâce à un dispositif de « rétroviseur », précise France Inter.

Les membres du groupe qui se trouvait en orbite en 2008 n’avaient quant à eux pas réussi à résoudre le problème. Ils avaient été contraints d’attendre une pièce détachée, apportée par la navette Discovery, ajoute la chaîne de radio. En attendant, les astronautes n’ont pas d’autre choix que d’utiliser… des couches.

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EXCÈS Les déplacements sont financés par de l’argent public, dont une partie est reversée à des hôtels et complexes appartenant au président américain

Donald Trump en train de jouer au golf en 2012.
Donald Trump en train de jouer au golf en 2012. — Patrick Semansky/AP/SIPA

Les parties de golf de Donald Trump auraient coûté 115 millions de dollars (environ 105 millions d’euros) à l’Etat américain depuis son élection. Le président a passé 223 jours de son mandat à se livrer à son activité sportive préférée, la plupart du temps sur un des parcours qu’il possède.

Cette énorme facture correspond à 287 années du salaire présidentiel. En janvier, un rapport estimait à 3,4 millions de dollars le coût d’un seul séjour de Donald Trump à Mar-a-Lago, une de ses propriétés de golf en Floride. Or, depuis son arrivée à la Maison-Blanche, le président y a passé 58 jours, rapporte le HuffPost.

De nombreux déplacements, toujours en avion

Il a également joué au golf 77 jours sur son parcours du New Jersey et 77 autres dans son complexe de Virginie. Donald Trump a effectué quatre séjours sur son parcours de Jupiter (Floride), trois à Doonberg (Irlande), deux à Turnberry (Ecosse), un à Los Angeles et un à Doral, toujours en Floride. Le président n’a d’ailleurs joué que deux fois sur un terrain ne lui appartenant pas, lors de sa visite officielle au Japon.PUBLICITÉinRead invented by Teads

Le coût est élevé pour les finances publiques, en grande partie à cause des déplacements effectués en Air Force One et d’autres avions servant à transporter l’entourage du président, ses agents de sécurité et des voitures blindées et véhicules officiels.

Bénéfice pour les hôtels Trump

Des voix s’élèvent aussi pour dénoncer un autre type de dépense. Les personnes accompagnant le président seraient en effet toutes logées dans les hôtels du milliardaire, parfois à un tarif dépassant le plafond légal. Les établissements du président toucheraient ainsi des sommes non négligeables.

« Il devient évident que Donald Trump utilise sa présidence pour empocher de l’argent », dénonce l’activiste Jordan Libowitz. « Le problème n’est pas sa passion pour le golf, [c’est] qu’il a passé une bonne partie de sa présidence à faire des apparitions qui font la promotion de ses parcours de golf en difficultés financières, le tout aux frais du contribuable. »

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OUPS Le parlement a dû engager des travaux à 236.000 euros pour installer la machine

20 Minutes avec agence

La façade de la Leinster House, à Dublin.
La façade de la Leinster House, à Dublin. — SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Le Parlement irlandais s’est fait livrer une imprimante ultra-performante à 800.000 euros en décembre 2018 mais a dû patienter jusqu’au 28 septembre dernier pour qu’elle soit enfin installée. La raison ? La machine était trop grande pour rentrer dans la pièce qui devait l’accueillir, rapporte RFI. L’affaire, révélée la semaine dernière par la presse du pays, a mis dans l’embarras les autorités.

L’imprimante, commandée en mai 2018 à l’entreprise Komori, fait en effet deux mètres de haut et deux mètres de large. Bien trop volumineux pour passer les portes de la Leinster House, la bâtisse construite au XVIIIe siècle qui abrite les deux chambres du Parlement. Le personnel n’aurait pas pris conscience des dimensions de la machine au moment de la commande.

Une méprise à plus de 250.000 euros

Résultat : les autorités ont engagé des travaux en catastrophe pour pouvoir faire rentrer l’imprimante. Coût de l’opération : 236.000 euros. Et la facture grimpe encore puisqu’il a fallu stocker le mastodonte pendant la durée du chantier, soit dix mois. La location de l’entrepôt a coûté 2.000 euros par mois.

Au total, la note s’élève donc à plus d’un million d’euros. Une enquête parlementaire a été ouverte pour comprendre comment une telle méprise a pu se produire. Malgré son installation, la machine ne serait toujours pas utilisée aujourd’hui, indique RFI. Le personnel administratif demanderait une augmentation avant de s’en servir.

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Peu de réformes entrent en vigueur pour ce dernier mois de l’année, mais quelques changements qui pèsent sur la vie quotidienne sont attendus.

© Fournis par Franceinfo

Une augmentation, des nouvelles réglementations, des échéances à ne pas oublier… Quelques changements ponctuent le quotidien des Français à partir du dimanche 1er décembre, ou dans le courant du mois. Franceinfo liste les principaux.

Des prix du gaz qui augmentent

A partir de dimanche, les tarifs réglementés du gaz naturel, appliqués par Engie à 4 millions de foyers français, augmenteront en moyenne de 0,6%, par rapport au barème applicable depuis le 1er novembre. Cette augmentation est de 0,1% pour les clients qui utilisent le gaz pour la cuisson, de 0,3% pour ceux qui ont un double usage (cuisson et eau chaude) et de 0,6% pour les foyers qui se chauffent au gaz, comme le détaille Service-Public.fr. A noter : ces tarifs réglementés devraient disparaître progressivement d’ici 2023, pour laisser la place uniquement à des offres dites de marché, dont le prix est fixé librement par les fournisseurs.

Des procédures pour les accidents du travail et les maladies professionnelles qui évoluent

A partir du 1er décembre, plusieurs aspects des procédures de reconnaissance des accidents du travail et maladies professionnelles évoluent. « Si l’employeur pense que l’accident du salarié(e) n’est pas en lien avec son travail, il dispose désormais de dix jours à partir de la date de la déclaration d’accident du travail (DAT) pour contester l’origine professionnelle de l’accident », indique l’assurance-maladie sur le site Ameli.fr. L’employeur et le salarié concerné peuvent consulter et commenter les documents du dossier pendant dix jours, avant que la caisse primaire d’assurance-maladie ne prenne sa décision.

Du côté des maladies professionnelles, voici ce qui change. Si la maladie déclarée par le salarié fait partie d’un tableau de maladie professionnelle, la procédure de reconnaissance est réduite : elle passe de 6 à 4 mois. En revanche, si la maladie du salarié ne fait pas partie d’un tableau de maladie professionnelle, ou si les conditions indiquées dans ce tableau ne sont pas remplies, son dossier sera examiné par un comité d’experts médicaux qui statuera au plus tard dans un délai de 4 mois supplémentaires.

Des listes des logements loués via Airbnb pour les communes qui le souhaitent

Désormais, les plateformes de location temporaire comme Airbnb pourront être contraintes par les communes françaises de donner une fois par an la liste détaillée des logements loués par leur intermédiaire. Le décret a été publié au Journal officiel le 31 octobre, mais il entre en vigueur dimanche 1er décembre.

Il ne s’applique qu’aux communes, comme Paris, qui demandent déjà aux propriétaires de déclarer publiquement chaque logement loué via une plateforme de ce type. Seules plusieurs grandes villes en France, ainsi que certaines communes de la banlieue proche de Paris, ont jusqu’alors mis en place ce dispositif de déclaration préalable.

Le décret permet aux collectivités d’aller plus loin, puisqu’elles pourront désormais demander aux opérateurs le nombre précis de jours pendant lequel le logement concerné aura été loué. Le texte n’est, pour l’essentiel, pas une nouveauté, car son principe était inscrit dans la loi sur le logement adoptée en 2018. Mais il en fixe certains détails, notamment le fait que les communes ne pourront demander une telle liste qu’une fois par an.

Des avis d’imposition qui peuvent être modifiés

Si vous employez une aide à domicile pour le ménage ou la garde d’enfant, si vous versez des dons ou des cotisations syndicales, vous avez droit à des crédits d’impôt sur vos revenus et recevez une avance de 60% du montant en janvier chaque année. Cette année, jusqu’au 5 décembre, l’administration fiscale vous permet de moduler ou même de refuser cette avance au titre de votre crédit d’impôt en janvier 2020, pour éviter d’avoir à la rembourser si vos dépenses ont baissé en 2019. Vous devez pour cela vous rendre dans votre espace particulier, sur le site Impots.gouv.fr.

Si vous n’êtes pas concernés par le crédit d’impôts, mais que vous venez de vous rendre compte d’un oubli ou d’une erreur sur votre avis de situation déclarative à l’impôt sur les revenus 2018, ou sur votre avis d’impôt, vous pouvez encore effectuer des corrections sur votre déclaration de revenus en ligne. Les corrections peuvent aussi bien porter sur les revenus que les charges, les modifications aux rubriques concernant la contribution à l’audiovisuel public ou l’impôt sur la fortune immobilière, précise Service-Public.fr. Mais attention, il y a une date limite : le 17 décembre.

En outre, si vous avez effectué une demande de mise à jour de votre taux de prélèvement à la source suite à une baisse ou hausse de revenus, il cesse de s’appliquer au 31 décembre. Une action de votre part est nécessaire pour le renouveler en 2020 si vous souhaitez le conserver. Pensez à modifier votre taux de prélèvement à la source avant le 7 décembre afin qu’il soit utilisé dès le mois de janvier 2020.

Des ajustements pour la taxe d’habitation

Si le montant de votre taxe d’habitation est susceptible de diminuer en 2020, par exemple parce que vous êtes éligible à la réforme de la taxe d’habitation, vous pouvez réduire le montant de vos mensualités, depuis le 16 octobre. Les modifications apportées jusqu’au 15 décembre seront prises en compte pour le mois de janvier 2020. Les modifications effectuées à partir du 16 décembre prendront effet à compter du deuxième mois qui les suivent. Rappelons que les ménages concernés par la réforme de la taxe d’habitation seront totalement exonérés en 2020 et n’auront plus que la contribution à l’audiovisuel public à payer.

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Le navire, dont le naufrage est survenu pour une raison encore inconnue, devait acheminer sa cargaison de moutons roumains en Arabie Saoudite. Sur les 14.600 bêtes prises au piège, seules 254 ont pu être sauvées.

Couché sur le flanc depuis dimanche dernier à quelques centaines de mètres du port roumain de Midia, le navire devrait être prochainement renfloué.

© Igsu Romania – AFP Couché sur le flanc depuis dimanche dernier à quelques centaines de mètres du port roumain de Midia, le navire devrait être prochainement renfloué.

Les opérations de secours pour tenter de sauver quelque 14.600 moutons piégés en mer Noire dans les cales d’un cargo naufragé ont pris fin après cinq jours d’intervention qui n’ont permis de sauver que 254 bêtes, selon une information de sources concordantes révélée ce samedi. Couché sur le flanc depuis dimanche dernier à quelques centaines de mètres du port roumain de Midia, le navire devrait être prochainement renfloué.

« Dès que la situation le permettra, le bateau sera redressé et remorqué jusqu’au quai. Les carcasses d’animaux seront ensuite extraites des cales et envoyées à l’incinérateur », a indiqué Ana-Maria Stoica, porte-parole de l’Inspectorat pour les situations d’urgence.

En cinq jours, 254 moutons ont pu être sortis du Queen Hind, un cargo battant pavillon de Palau, a précisé l’association de protection animale Arca Animal Rescue & Care sur sa page Facebook. L’association évoque « une forme de cauchemar ». Elle estime que si l’intervention avait été plus rapide, « des milliers (d’animaux) auraient pu être sauvés ». Les 21 membres d’équipage, comprenant 20 Syriens et un Libanais, avaient été ramenés à terre sains et saufs dès dimanche, après le chavirage.

Deux millions de moutons exportés en deux ans

La catastrophe de Midia a relancé le débat autour du transport d’animaux vivants depuis la Roumanie qui est l’un des principaux fournisseurs de moutons pour les pays arabes. Le Premier ministre Ludovic Orban, très critique sur la gestion de la crise par les autorités locales, a rappelé vendredi qu’un projet de loi encadrant plus strictement ce type d’exportation était en discussion au parlement.

Troisième éleveur d’ovins au sein de l’Union européenne, la Roumanie a exporté ces deux dernières années deux millions de bêtes, notamment vers la Jordanie, la Libye et la Jordanie. Après l’accident, un responsable de l’ONG Animals International avait affirmé que le navire était surchargé. Les associations avaient déjà dénoncé les conditions de ces traversées, notamment durant les fortes chaleurs estivales.

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la police néerlandaise recherchait ce samedi l’homme soupçonné d’avoir blessé trois adolescents lors d’une attaque au couteau la veille dans une rue commerçante.

Trois personnes ont été blessées sur la Grote Marktstraat, l'une des rues les plus commerçantes de La Haye, aux Pays-Bas.

© AFP Trois personnes ont été blessées sur la Grote Marktstraat, l’une des rues les plus commerçantes de La Haye, aux Pays-Bas.

Après l’attaque, la traque. La police néerlandaise recherchait ce samedi l’homme soupçonné d’avoir blessé trois jeunes mineurs lors d’une attaque au couteau la veille dans une rue commerçante de La Haye.

Le suspect a pris la fuite après l’agression qui s’est déroulée dans un grand magasin du centre-ville, provoquant des scènes de panique parmi la foule de clients nombreux en ce jour de soldes du Black Friday.

« Nous n’avons pas encore arrêté de suspect. Nous sommes très actifs pour tenter de le retrouver », a déclaré une porte-parole de la police Marije Kuiper. Interrogée sur un éventuel mobile terroriste de l’attaque, elle a répondu « qu’il est trop tôt pour spéculer sur ce genre de choses », ajoutant que les enquêteurs travaillent sur plusieurs scénarios. Les enquêteurs ont été vus en train d’examiner un couteau retrouvé sur les lieux.

La police avait dit initialement rechercher « un homme au teint légèrement basané », âgé de 40 à 50 ans et vêtu d’un manteau noir, d’un pantalon de jogging gris et d’une écharpe. Mais elle s’est ensuite ravisée, affirmant que des « investigations approfondies » étaient toujours en cours.

Les trois victimes ont pu rentrer chez elles

Les trois victimes ont pu rentrer chez elles vendredi soir après avoir été hospitalisées. Il s’agit de trois adolescents, un garçon âgé de 13 ans originaire de La Haye et deux filles de 15 ans, l’une d’Alphen aan den Rijn et l’autre de Leidersorp, villes du centre du pays. Les victimes ne se connaissaient pas, selon la police citée par l’agence ANP.

LIRE AUSSI >> Ce que l’on sait de l’attaque au couteau qui a fait deux morts sur le London Bridge

Les Pays-Bas ont connu plusieurs attaques terroristes ou tentatives ces dernières années. Lundi, la police néerlandaise avait annoncé l’arrestation de deux hommes soupçonnés de préparer une attaque terroriste aux Pays-Bas à la fin de l’année avec des ceintures d’explosifs et une voiture piégée.

À Londres, quelques heures avant l’attaque commise à La Haye, un ex-prisonnier condamné pour terrorisme en liberté conditionnelle, porteur d’un engin explosif factice, a tué deux personnes à coups de couteau avant d’être maîtrisé par des civils puis abattu par la police qui a qualifié l’attaque de « terroriste ».

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Une élève âgée de 13 ans a blessé au thorax son professeur de mathématique avec une arme blanche. Ses jours ne sont pas en danger.

Le Parisien

© Google Street View. Le Parisien

Une élève en classe de 4e a agressé vendredi son professeur de mathématique avec une arme blanche, un cutter selon La Nouvelle République. Les faits se sont passés au cœur du collège du Puits-de-la-Roche à Richelieu (Indre-et-Loire).

À la fin d’un cours, l’adolescente aurait rendu sa copie avant d’agresser son professeur. Celui-ci est touché à plusieurs reprises au thorax mais les blessures ne sont pas profondes, a expliqué le rectorat à France Bleu.

Un geste probablement prémédité

Ses collègues ont réagi promptement. Le professeur a été transporté aux urgences à Chinon mais il a pu rentrer chez lui dès vendredi dans la soirée. La jeune fille aurait confié à d’autres élèves son intention de s’en prendre à ce professeur, selon La Nouvelle République.

Une cellule d’écoute a été mise en place dans le collège dès vendredi après-midi tant pour les élèves et que le personnel. Elle sera reconduite lundi.

Une enquête a été ouverte par le procureur de la République de Tours. Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation nationale, s’était rendu quelques jours auparavant dans cet établissement.

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Un petit bébé de 10 mois a été découvert seul, dans sa poussette, au milieu d’une place à Toulouse.

Toulouse: un bébé de 10 mois abandonné seul dans la rue, sa mère était au bar

Une femme a été interpellée par les autorités ce mercredi 27 novembre en début de soirée à Toulouse (Haute-Garonne). Elle avait abandonné son bébé de 10 mois sur la voie publique. L’enfant, se trouvait seul dans une poussette, au beau milieu d’une place, rapporte La Dépêche.

La police municipale a été alertée, peu après 17 h par un passant. Les agents ont vite été rejoints par la mère, qui se trouvait dans un bar à proximité.

Elle était accompagnée d’un ami qui avait dans ses bras le deuxième enfant de la femme. Âgée de 35 ans, la mère de famille était fortement alcoolisée. Elle avait tout simplement laissé son bébé sur la voie publique pour aller prendre un verre avec son ami.

L’interpellation a été difficile

Selon La Dépêche, la trentenaire a difficilement été interpellée par les policiers, elle s’est notamment débattue et a outragé les agents.

Les deux enfants ont été confiés à l’ami présent au moment de l’interpellation.

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Ecole élémentaire de Clarensac / © Pierre Trouillet - France 3 Pays Gardois

Un enseignant a violemment été pris à partie par un parent d’élève, jeudi 28 novembre à 16h45, à la sortie de l’école élémentaire de Clarensac, près de Nîmes. L’homme l’a insulté avant de le menacer de mort.
 

Par Inès Pons-Teixeira Publié le 29/11/2019 à 11:01 Mis à jour le 29/11/2019 à 11:39L’agression a eu lieu devant les enfants et les enseignants, à la sortie des classes. Un parent d’élève a « agressé verbalement et menacé de mort » un enseignant de l’école, selon plusieurs témoins présents au moment de la scène.

Alexandre Rozga et Pierre Trouillet, journalistes à France 3 Pays Gardois, se sont rendus sur place ce vendredi matin pour recueillir des témoignages.

Il s’est approché pour en découdre, il est rentré dans l’école » explique un employé de l’école élémentaire de Clarensac témoin de la scène, sous couvert d’anonymat.

L’agresseur a été maîtrisé par un policier municipal lorsqu’il a pénétré dans l’enceinte scolaire.

Le corps enseignant sous le choc 

Tous ceux qui ont assisté à la scène se disent « très choqués ». L’équipe enseignante a décidé de débrayer une heure ce matin de 9 à 10 heures en signe de protestation.

Nous avons peur d’aller ouvrir le portail. Nous sommes terrorisés et craignons qu’il revienne s’en prendre à nous » avoue unemployé de l’école élémentaire de Clarensac, sous couvert d’anonymat.

Ce matin, la sécurité a été renforcée devant l’école.

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