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Archive for août 2015

Dans la nuit de samedi à dimanche, alors qu’elle rentrait chez elle avec une amie, une jeune touquettoise de 16 ans a failli se faire embarquer par quatre individus dans une fourgonnette, en pleine place du Centenaire. Sa mère raconte.

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Il est aux alentours de deux heures du matin lorsque cette jeune fille* décide de quitter la fête et rentrer chez elle, au Touquet. « Elle avait décidé de rentrer par le front de mer car dans les rues autour de la rue Saint-Jean, elle ne se sentait pas en sécurité. Tout le monde vomissait », raconte sa mère.

Entraînée de force

La jeune fille passe alors par la place du Centenaire, donnant la main à l’une de ses amies. Il y a du monde autour, elle ne s’inquiète pas. Tout à coup, elle s’est sentie tirée violemment par le bras et entraînée de force vers une fourgonnette dans laquelle deux individus attendaient. D’après ses souvenirs, ils étaient au moins quatre. « Elle a hurlé, elle s’est débattue… Ils s’apprêtaient à la pousser dans le véhicule quand un groupe de jeunes garçons est intervenu. »

« C’était la jungle »

Sauvée, elle se rend chez les policiers qui, débordés, prennent sa déposition. Elle y retourne le lendemain pour porter plainte. « Les services de police sont activement mobilisés pour effectuer des recherches d’information, indique le sous-préfet de l’arrondissement de Montreuil, Régis Elbez. Le dossier est de la compétence du parquet, qui a mobilisé les bandes-vidéo. »

En attendant, la jeune fille est « traumatisée. Elle s’est vue mourir, elle ne veut plus sortir de la maison », raconte sa mère, qui l’avait pourtant laissée partir sereine. « On est quand même dans une ville sécurisée, je ne m’inquiétais pas. Là, vu ce qu’elle me raconte, c’était la jungle. »

*Nous ne donnons aucun nom afin de préserver l’anonymat de cette mineure.

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Amnesty International UK

Two sisters to be raped as punishment – demand justice

191,694 taken. Help us reach 200,000

Your eyes do not deceive you. An unelected all-male village council in India has ordered that 23-year-old Meenakshi Kumari and her 15-year-old sister are raped.

The ‘sentence’ was handed down as punishment after their brother eloped with a married woman. They also ordered for the sisters to be paraded naked with blackened faces. Nothing could justify this abhorrent punishment. It’s not fair. It’s not right. And it’s against the law. Demand that the local authorities intervene immediately.

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La nuit de samedi à dimanche a été dramatique pour une mère et ses deux filles. En instance de divorce, cette Aixoise était partie en vacances au Maroc avec ses enfants.

De retour dans la station thermale, elle a la mauvaise surprise de trouver son mari dans l’appartement alors qu’il avait obligation de le quitter. Une dispute commence entre les parents et le père fait mine de taper sur la mère. C’est alors que la fille aînée, tout juste majeure, s’interpose pour protéger sa maman. Fou de rage, le père attrape une poêle où se trouvait de l’huile bouillante et la jette sur sa fille, brûlant celle-ci au visage, avant de la frapper avec l’ustensile de cuisine. Avertie, la police est intervenue et a interpellé le mari, qui se trouvait toujours en garde vue au commissariat d’Aix-les-Bains lundi matin.

Entendu par la justice, l’homme a finalement été remis en liberté et sera convoqué au tribunal ultérieurement.

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ANGLETERRE – Une jeune mère de famille a été récemment jugée pour nuisances sonores. Habituée des faits, elle avait écopé en juin dernier de quinze jours de prison pour une activité sexuelle beaucoup trop bruyante.

Gemma Wale est une récidiviste des nuisances sonores.

Gemma Wale est une récidiviste des nuisances sonores.

CATERS NEWS AGENCY/SIPA

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Aides matérielles et financières

Aide de la Ville

Distribution de fournitures scolaires

Établissement Public Administratif (EPA) géré par la Mairie, la Caisse des Écoles se charge de l’ensemble des fournitures scolaires des écoles maternelles et élémentaires de la Ville : cahiers, livres ou manuels sont, par exemple, offerts aux jeunes écoliers putéoliens.

La Caisse des Écoles organise par ailleurs plusieurs manifestations dans l’année : la distribution de livres en juin pour féliciter les enfants de l’année scolaire écoulée, le don d’un « cartable » en septembre rempli de fournitures pour aider les parents à faire face aux dépenses liées à la rentrée, ou encore les cadeaux de Noël très attendus par les tout-petits des sections maternelles.

Caisse des Écoles
15, rue Montaigne – 92800 Puteaux
Tél : 01 49 00 36 80

La Gazette de Puteaux:

Mr Grébert polémique encore une fois , sur la distribution des fournitures scolaires organisée cette année par EPA ( Etablissement Public Administratif). Une fois de plus ,Mr Grébert fait de la désinformation , car les cartables cette année ne sont pas roses et bleues, comme l’année dernière, mais ils sont tous noirs  avec Bart et Lisa Simpson.

Cela devient du harcèlement de la part de Mr Grébert, heureusement qu’il n’est pas Maire, car les petits Putéoliens n’auraient plus le droit à rien avec cet homme.

Il ne faut pas oublier que la distribution de fournitures scolaires a été instauré par Mr Charles Ceccaldi-Raynaud , ancien Sénateur Maire , sous l’impulsion de sa défunte femme qui était institutrice, et CCR avait instauré ça pour tous les petits Putéoliens sans aucunes distinctions. Alors ,Mr Grébert qu’avez-vous à dire à ce sujet ?C’est vrai vous n’avez pas d’enfants, donc vous ne pouvez pas comprendre, et ce ne sont pas non plus vos colistiers qui mettent leurs enfants dans le privé qui pourront dire que cela les aides.

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ETATS-UNIS – Mercredi dans le Connecticut, un homme s’est fait appréhender par la police pour avoir kidnappé un vieillard. La raison de son geste ? Il pensait avoir affaire à un SDF et voulait simplement le nourrir…

David Pope était persuadé que sa victime vivait dans la rue, et qu'il devait la nourrir.

David Pope était persuadé que sa victime vivait dans la rue, et qu’il devait la nourrir.

Police de Danbury

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Illustration. Le jeune homme apparemment éméché a fait une chute de 12 mètres en tentant d'escalader la cathédrale Saint-Maclou dans le centre historique de Pontoise.  Illustration. Le jeune homme apparemment éméché a fait une chute de 12 mètres en tentant d’escalader la cathédrale Saint-Maclou dans le centre historique de Pontoise.  WikiCommons @P.poschadel

Il s’était vraisemblablement lancé un défi au cours d’une soirée trop arrosée. Un jeune homme de 23 ans de Limay (Yvelines) a fait une chute spectaculaire d’au moins 12 mètres ce samedi vers 0 h 50 à Pontoise (Val-d’Oise).

Il tentait d’escalader la façade de 96 mètres de la cathédrale Saint-Maclou, monument gothique du XIIe siècle, bâti dans le centre ancien de Pontoise.

Son ami, présent sur les lieux, a appelé les secours. Selon la police, le blessé se trouvait sous l’emprise de l’alcool. Il a été conduit à l’hôpital Beaujon à Clichy.

Son pronostic vital est engagé, indiquent les pompiers. Il souffre d’un traumatisme crânien et de multiples fractures aux épaules, aux bras et à un fémur.

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avec AFP

Image d'illustration

Image d’illustration / Crédits : DGPN-SICOP

Inquiets de ne pas avoir de nouvelles du couple, qui ne répondait plus aux appels, des proches ont prévenu les pompiers, qui ont découvert vendredi les deux corps. Vu l’état de décomposition avancée des corps, les faits remonteraient à « plusieurs semaines ».

Un couple d’octogénaires a été retrouvé mort vendredi, pieds et mains liés dans un appartement de Saint-Cloud, dans les Hauts-de-Seine. Au vu de l’état de décomposition avancée des corps, les faits remonteraient à « plusieurs semaines », selon une source judiciaire.

Inquiets de ne pas avoir de nouvelles du couple, qui ne répondait plus aux appels, des proches ont prévenu les pompiers, qui ont découvert vendredi vers 17h les deux corps, selon une source proche de l’enquête. Des traces de sang ont également été retrouvées. Les toutes premières constatations n’ont pas mis en évidence de trace d’effraction, a-t-on expliqué de source judiciaire. Une autopsie a été ordonnée pour tenter de déterminer précisément les causes de la mort des deux octogénaires. L’enquête a été confiée à la police judiciaire des Hauts-de-Seine, selon cette source.

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Le 19 août dernier, Michel a claqué la porte de son appartement parisien après avoir laissé ses clefs à l’intérieur.

Comme il n’y a pas de poignée à l’extérieur et qu’il ne disposait pas de double, il s’est retrouvé enfermé dehors.

En bas de chez lui, il a vu la publicité d’un serrurier et l’a appelé. Une heures plus tard, deux employés sont arrivés.

Avant de commencer, les serruriers lui ont présenté un devis d’ouverture de porte obligatoire pour un montant de 1 165 €.

Puis, l’un des serruriers a introduit un poinçon dans la serrure puis frappé avec un marteau, cassant ainsi la serrure. Résultat, il a fallu changer la serrure. Ce qui a donné lieu à un second devis de 4 750 € et une facture de 2 113 € pour le « réglage de la porte ».

Au total, le devis s’élevait à 7 500 €. Le sexagénaire a dû payer la somme de 6000 euros tout de suite : 2500 euros par carte bancaire, 2500 euros par chèque et le reste en liquide.

Presque toutes ses économies. La victime a déposé plainte contre l’entreprise auprès de UFC-Que Choisir

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Cahors. Son fils placé parce qu’elle l’aime trop ?

Publié le 26/12/2010 à 08:07

Justice

Odile T. est favorable à une assistance éducative mais conteste le placement./DDM, B.-H. S.-P.
Odile T. est favorable à une assistance éducative mais conteste le placement./DDM, B.-H. S.-P.
  • Odile T. est favorable à une assistance éducative mais conteste le placement./DDM, B.-H. S.-P.

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Le fils d’Odile T. , âgé de 3 ans, fait l’objet d’un placement judiciaire en foyer d’accueil durant six mois. La justice reproche une relation fusionnelle faisant obstacle au développement de l’enfant. Ce que conteste Odile : elle a fait appel du jugement.

C’est le plus souvent pour des cas de violences et de maltraitance que les enfants sont enlevés de leur famille et placés en foyer. Dans le Gourdonnais, le cas d’Odile T. et de son fils L., 3 ans, est différent. Dans un jugement en assistance éducative aux fins de placement du 23 novembre dernier, la juge des enfants de Cahors constate qu’Odile « est très attachée à son fils avec qui elle entretient une relation fusionnelle ne lui permettant pas de se développer en tant que sujet car il est maintenu à l’état de nourrisson »

[…] « Il est constaté des carences éducatives importantes préjudiciables au développement physique de L. qui, d’après le bilan du CMPP, doit bénéficier de soins orthophoniques, psychologiques et au niveau de la motricité ». La justice reproche à Odile de ne pas poser d’interdit ou de cadre à son fils ». La maman reconnaît la relation fusionnelle : « Enceinte de 6 mois, j’ai appris que j’étais atteinte d’un cancer. L’accouchement a été anticipé afin que je puisse recevoir des soins. Je suis aujourd’hui guérie. J’ai eu des soucis financiers et j’ai vécu un an en caravane. Quand les services sociaux m’ont demandé de vivre en appartement et de scolariser mon fils à 3 ans, je l’ai fait. Il a fait de gros progrès mais cela n’a pas été pris en compte. Mon fils aîné qui a 20 ans et que j’ai élevé sans problème n’a même pas été interrogé, ni l’institutrice qui m’a fait une attestation sur les progrès de mon enfant. Ce n’est pas un crime d’aimer son enfant ! », explique Odile en pleurs : « Il dormait quand il a été emmené chez la nouvelle nounou et s’est réveillé sans la connaître ; il a aussi été changé d’école. On ne m’a accordé au départ un droit de visite et d’hébergement que de deux week-ends par mois. La première fois, j’ai dû l’amener aux urgences car il s’était retenu de faire ses besoins ; il m’a accusé de l’abandonner et était dans tous ses états au moment de le laisser. Je suis tout à fait d’accord pour une assistance éducative en milieu ouvert, mais pas pour le placement », martèle Odile qui a fait appel du jugement et se rend aux rendez-vous fixé au centre médico-social pour une assistance éducative.

Des progrès constatés à l’école

« La justice reproche à la maman de trop aimer son enfant », résume Philippe Mercadier, avocat d’Odile. L’institutrice confirme les progrès : « Depuis sa scolarisation en septembre, il est propre et ne pleurait pas quand on l’amenait. On l’enlève de sa famille et de son école, il n’a plus du tout de repères. Personne ne m’a interrogée ».

Sollicitée, la juge des enfants n’a pas souhaité évoquer le dossier. Les services sociaux du département soulignent d’abord l’intérêt de l’enfant (lire encadré). Une bonne nouvelle est arrivée récemment : Odile peut désormais prendre son fils du vendredi au lundi durant les fêtes de fin d’année.


« l’intérêt de l’enfant »

À la direction de la solidarité départementale, Nathalie Bruno, chef de service, indique ne pas pouvoir évoquer le dossier sur le fond, mais précise :

« Le placement n’est pas une fin en soi. C’est une décision judiciaire. Les services sociaux ne sont pas à l’initiative du signalement ; la personne concernée faisait déjà l’objet d’un suivi des services de la protection judiciaire de la jeunesse. La priorité est l’intérêt de l’enfant. Nous mettons en place le droit de visite, sous le contrôle de la juge des enfants. Les situations ne sont pas figées : les décisions sont prises au fur et à mesure des évolutions constatées, que ce soit au niveau matériel, psychique ou psychologique. Avec pour objectif le retour de l’enfant au domicile familial. Il faut que toutes les conditions soient réunies ».

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