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Archive for octobre 2012

Santé : alerte à la varicelle dans sept régions

 

                     ILLUSTRATION. La varicelle se manifeste par l’apparition de nombreux boutons rouges et une éventuelle fièvre. La guérison peut mettre de sept à seize jours. | LP / Aurélie AUDUREAU

 

                    Après les débuts de grippe saisonnière, prenez garde à la varicelle. Sept régions de la France métropolitaine sont cette année plus exposées que d’autres selon le réseau de surveillance Sentinelles-Inserm.
La maladie contagieuse a touché fortement la semaine dernière les régions Picardie (420 cas), Poitou-Charente (200) et Limousin avec (65).

                 Elle a par ailleurs atteint de façon «modérée» Rhône-Alpes, Aquitaine, Haute-Normandie et Lorraine. En août, le Limousin apparaissait déjà dans les régions à risque avec le Languedoc-Roussillon et la Corse qui, depuis, ont été retirées de la liste de vigilance. Après près de quatre mois d’activité intense, la varicelle avait quitté le territoire français en septembre, avant de revenir en force ce mois d’octobre.
Les premiers symptômes
Le virus est généralement présent dans le nez et la gorge avant l’éruption cutanée. Mais la contagion débute deux jours avant les manifestations sur la peau et se poursuit pendant la phase d’apparition des boutons. Dans certains cas, le virus peut pénétrer dans l’organisme à travers les voies respiratoires et atteindre les ganglions lymphatiques, où il peut se multiplier. C’est ainsi qu’il faut consulter dès l’apparition des premiers boutons et une éventuelle fièvre.
En général, les boutons se situent d’abord sur le cuir chevelu puis sur le thorax et les muqueuses. Ils se multiplient ensuite sur les membres et termine sur le visage. La guérison prend de sept à seize jours, que ce soit pour l’adulte ou l’enfant.
Grippe et gastro en baisse
Le réseau de surveillance relève une «activité faible» pour la gastro-entérite, avec une incidence estimée des cas vus en médecine générale de 149 pour 100 000 habitants, «en dessous du seuil épidémique qui est de 216 cas pour 100 000 habitants». Concernant la grippe, les cas vus en consultation de médecine générale la semaine passée ont été estimés à 37 pour 100 000 habitants, soit nettement sous le seuil épidémique de 127 cas.

 

                                                     LeParisien.fr

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Sécu : l’hypertension artérielle ne sera plus prise en charge à 100%

 

 

    
                     Illustration. Une partie des patients hypertendus ne seront plus remboursés à 100%. | Philippe Huguen

 

                    Cette décision du Conseil d’Etat va affecter, selon les associations en colère, la vie de 4,2 millions de personnes sur les 15 millions de Français hypertendus recensés chaque année en France. L’hypertension artérielle sévère va être définitivement retirée de la liste des «affections longue durée» (ALD) qui permet la prise en charge à 100% par la Sécurité sociale, après une décision de la plus haute juridiction administrative.


Le Conseil d’Etat «vient de rejeter le recours contre le décret du 24 juin 2011 supprimant l’hypertension artérielle (HTA) sévère de la liste des ALD», déplorent dans un communiqué la fédération française de cardiologie, la société française de cardiologie et l’alliance du Coeur. Le décret du 24 juin 2011 avait supprimé l’hypertension artérielle de la liste des ALD au prétexte que cette maladie était «la seule ALD à constituer un facteur de risque et non une pathologie avérée».
Une mesure mise en place par l’ancienne majorité
Cette disposition, contestée par les associations de patients, était prévue dans le Budget de la Sécurité Sociale 2011 et devait permettre d’économiser 20 millions d’euros, selon le précédent gouvernement. Le CISS (collectif de patients), la FNATH, association des accidentés de la vie et l’Alliance du coeur avaient déposé un recours devant le Conseil d’Etat.
«Compte tenu des caractéristiques de l’hypertension artérielle, du nombre de personnes concernées, de l’évolution et du coût des traitements de cette affection, le Premier ministre a pu légalement prendre la mesure de suppression», estime le Conseil d’Etat dans sa décision du 26 octobre consultée par l’AFP.
Une augmentation des frais médicaux de l’ordre de 30%
«L’hypertension artérielle sévère compliquée d’affections cardio-vasculaires et rénales très handicapantes n’est plus reconnue pour des raisons purement économiques comme elle doit l’être: une maladie chronique très grave!», soulignent de leur côté les trois associations.
Ces patients «verront donc dès à présent les frais médicaux restant à leur charge augmenter de plus 30%», précisent-elles, redoutant des «conséquences préjudiciables». Enfin, cette décision est «en parfaite incohérence avec les recommandations du Plan de lutte contre les AVC 2010-2014, priorité de santé publique et avec une nouvelle politique privilégiant la démocratie sanitaire», concluent-elles.

 

                                                     LeParisien.fr  avec l’ AFP

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Montpellier Une famille expulsée à la veille de la trêve hivernale
MICHEL MARGUIER

L’expulsion d’une famille rue Saint-Claude.DEMENAGEMENT(JEAN-MICHEL MART)

Alors que la trêve hivernale entre en vigueur ce mercredi soir à 21 heures, une famille a été expulsée de son logement dans le quartier Gambetta à Montpellier pour cause d’impayés. Les autres locataires menacés d’expulsion seront en sursis jusqu’au 15 mars (sauf en cas de squat), même si leur propriétaire a engagé une procédure judiciaire.

Un camion de déménagement. Un fourgon de police. Un huissier de justice pourtant visiblement compréhensible. Et, mardi, en début de matinée, quartier Gambetta, Saadia est à la rue. Le soir même, elle et sa famille – un mari et deux enfants majeurs – se retrouvent en situation d’urgences, logés pour quelques jours dans un hôtel de la périphérie. Grâce à l’intervention d’associations vite mobilisées : Corus et CLCV (Consommation logement et cadre de vie).

Pas de solution de remplacement en dépit de la loi Dalo

À l’avant-veille de l’entrée en vigueur de l’interdiction hivernale d’expulsion de locataire – le 1er  novembre -, l’application d’une décision de justice pour problèmes avérés de retards de paiement de loyer ne manque pas d’inquiéter les défenseurs de la famille. À commencer par l’avocat, Me Christophe Ruffel : « Je n’ai rien à dire juridiquement. Sauf que le tribunal administratif, en référé, avait ordonné que l’on trouve un logement de type F4 à cette famille. » En reconnaissance de l’application de la loi Dalo – droit au logement opposable – qui permet à toute personne concernée de saisir une commission de médiation puis, éventuellement, d’avoir recours au tribunal administratif.

Le préfet entre le marteau et l’enclume

Au-delà de ce cas précis, l’avocat comme l’association comprennent mal comment le préfet, donc l’État, peut à la fois demander une expulsion et être assujetti à une obligation de logement approprié à une situation familiale. Un cas d’école qui devrait être développé par Me Ruffel, en nouveau référé au tribunal administratif, le 7 novembre prochain. De son côté, la CLCV entendant bien accompagner un dossier significatif parmi d’autres.

12 760 expulsions en 2011, 50 000 selon la fondation Abbé-Pierre

En 2011, 113 669 décisions judiciaires d’expulsion ont été rendues (+4% sur un an et +40% en dix ans), et 12 760 expulsions ont eu lieu avec le concours de la force publique (+9% sur un an, un doublement en dix ans), selon les ministères de la Justice et de l’Intérieur. « Mais on estime à 50 000 le nombre de familles expulsées, car beaucoup partent sous la pression des huissiers ou de gros bras, ou quittent leur logement en catimini, par honte », précise Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation Abbé Pierre.

Accentuation des expulsions en octobre avant la trêve

Les « 19 000 places nouvelles » annoncées par la ministre du Logement Cécile Duflot pour l’hiver doivent être mobilisables à partir d’aujourd’hui. Patrick Doutreligne dénonce comme chaque année une accentuation des expulsions en octobre, juste avant la trêve. Ce que dément Patrick Safar, trésorier de la Chambre nationale des huissiers de justice. « On intervient quand on a le concours de la force publique, mais souvent la préfecture ne nous l’accorde qu’en dernière minute », dit-il. Il précise que 90% des procédures « se résolvent par un départ volontaire. A partir du moment où il y a une décision de justice, il faut l’appliquer. Mais on essaie que la décision soit la moins douloureuse possible », ajoute-t-il.

Les expulsés se tournent vers le 115 saturé

Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de Droit au Logement (DAL), constate lui une hausse du nombre de personnes menacées d’expulsion dans les permanences de son association. « On essaie d’intervenir auprès des préfectures pour obtenir des sursis. On y arrive parfois mais pas toujours ». « Les familles sont expulsées, les conseils généraux n’arrivent pas à les reloger, les familles se tournent vers le 115 (numéro d’appel d’urgence pour les sans-abri) qui est saturé », résume-t-il. Dans plusieurs villes de France, pouvoirs publics et associations ont constaté une hausse des demandes d’hébergement d’urgence, notamment de familles à la rue. A Paris, 400 appels sur les 1.200 que reçoit le Samu social chaque soir restent sans solution.

Réquisition de logements vacants envisagée

Pour faire face, Cécile Duflot n’a pas exclu samedi de mettre en oeuvre la réquisition de logements vacants, un dispositif rarement appliqué.

Avec AFP

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Maître Louise Gomez, devenue avocate à l’âge de 84 ans : «Je veux plaider !»
 
serment

Louise del Busto  Gomez a prêté serment à la cour d'appel de Toulouse: «Avec volonté et compétence, on arrive au bout de ses rêves», juge  Hugues Kenfac, doyen de a fac de droit de Toulouse.../ Photo DDM Thierry Bordas ()

Louise del Busto  Gomez a prêté serment à la cour d’appel de Toulouse: «Avec volonté et compétence, on arrive au bout de ses rêves», juge  Hugues Kenfac, doyen de a fac de droit de Toulouse…/ Photo DDM Thierry Bordas

Louise del Busto Gomez qui a prêté serment hier à Toulouse est désormais avocate à l’âge de 84 ans. Un moment d’émotion qui vient ponctuer le parcours volontaire de «Louise courage».

Une seule nouvelle avocate mais beaucoup de robes et d’amis pour la prestation de serment de Louise del Busto Gomez, hier matin, à la cour d’appel du tribunal de Toulouse. A 84 ans, cette Castraise, réfugiée à 11 ans de la guerre civile espagnole, a juré en levant la main droite de respecter le code de déontologie de la profession et d’exercer ses fonctions avec «dignité, conscience, indépendance, probité et humanité». Émotion pour la famille, les bâtonniers, le maître de stage, Me Julien Soubiran (un minot de 31 ans !) ou encore Hugues Kenfack, doyen de la faculté de droit de Toulouse, tout fier que l’impétrante se soit distinguée sur les bancs de l’Université à l’âge de la retraite.

Vous voilà avocate à 84 ans ! Et ce n’est pas une vocation tombée du ciel…

J’avais une passion, le droit. A la retraite, je suis entrée à la Confédération syndicale des familles, une association de consommateur à Castres. Mon mari Victor m’a dit : «puisque tu aimes ça, inscris-toi à la fac !» J’ai répondu : «Mais je n’ai pas le bac»… Je ne pensais pas que c’était possible. J’ai pu faire la capacité en droit, puis la licence puis deux maîtrises de droit privé et de droit social…

D’autant plus méritoire qu’à 11 ans, vous ne parlez pas un mot de Français. Et vous reprenez des études 50 ans près !

Je n’avais que le certificat d’études. Entre-temps, temps, j’ai fait un peu tous les métiers, les vendanges où j’ai rencontré mon mari, dactylo chez un avoué, représentante et dix ans vendeuse dans un Monoprix à Castres.

D’où vient cette volonté d’aller au bout d’un parcours universitaire ?

Étudier, cela m’apporte une force et une envie de vivre, je ne me vois pas vieillir. Et puis, on a tellement souffert de la guerre civile. je voulais faire vraiment du droit pour la justice, et pour aider les autres.

Avec peut-être aussi un désir de revanche car vous avez également repris vos études en Espagne ?

Oui, je suis avocate à Barcelone depuis peu également. Je considère que l’Espagne de Franco m’a volé mon enfance, donc je suis revenue à Barcelone, la ville où je suis née, et j’ai repassé tous les diplômes de droit en espagnol. Ce n’était pas facile. Vous savez, en espagnol… j’ai l’accent français ! Je n’ai jamais plaidé là-bas mais j’espère le faire.

Et ici en France, comptez-vous plaider ?

D’abord, je veux remercier Me Soubiran qui m’a accueilli pour les six mois de stage. Une grande compétence, j’apprends beaucoup tous les jours. La France, c’est mon pays d’accueil, bien sûr que j’ai envie d’y plaider… et de gagner de s procès.

Après tant d’efforts pour porter la robe, que pensez-vous de s politiques battus qui squattent la profession ?

Avocat, c’est un métier merveilleux, c’est un honneur. On ne doit pas le devenir par défaut mais parce qu’on le sent.


Un parcours de Louise courage

Louise est née le 17 août 1928 à Barcelone. Le 27 janvier 1939, la fillette est en fuite avec des parents, à pied, sur les routes et sous les bombes : «Les avions de Franco, Mussolini, Hitler nous mitraillaient» dit-elle. Elle passe la frontière le 9 février, la France terre d’exil, terre d’accueil désormais. Un train pour la Normandie, les camps de réfugiés, l’Aveyron, Béziers, puis Castres en 1952. Avant, c’est d’abord l’apprentissage de la langue sur le tas, puis la scolarisation Jusqu’au certificat d’études : «Mes maîtresses ont été formidables», glisse-t-elle. Et puis, bien sûr, le, mari, Victor Gomez, lui aussi réfugié, «un grand résistant déporté à Dachau, un homme admirable». C’est Victor, aujourd’hui décédé, qui a poussé Louise à reprendre ses études : «: Pour la Toussaint, et je n’oublierai pas d’aller le remercier à Castres»…

Propos recueillis par Daniel Hourquebie

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Christel —

Our thoughts and
prayers this morning are with the families affected by the storm.

It can
be gut-wrenching to see the reports of what’s happening and feel like you can’t
do anything to help.

But it’s important to remember that you really can:
Relief organizations like the American Red Cross are on the ground right now in
the communities affected by the storm, and making a financial contribution to
those efforts is the most effective way to help those in
need.

So, if you’d like to help, please give to the American Red
Cross right now:

http://my.barackobama.com/Red-Cross

Soon
enough we’ll need to get back to work on the most important campaign of our
lifetime.

But the most important thing at this moment is that you and
your loved ones are staying safe, and that the rest of us do what we can to help
speed the recovery.

Thank
you,

Messina

—————–Original
Message—————–
From: Barack Obama
Subject: Hurricane
Sandy

Friend —

This is a serious storm, but we are going to do
what it takes to keep people safe and secure, and make sure the communities
affected get the assistance they need. FEMA is working with state and local
governments to respond effectively. We all owe a debt of thanks to the first
responders who will be dealing with the immediate impact of the storm.

If you live in the storm’s path, please listen to state and local
authorities about where and how to take shelter and stay safe — and encourage
your friends and family to do the same. If you are asked to evacuate, please
take that seriously.

For more information on how to prepare for this
storm, visit Ready.gov.

And
if you’d like to find out how to support relief efforts where they’re needed
most, please visit the Red Cross or your local relief
organization:

http://my.barackobama.com/Red-Cross

Michelle
and I are keeping everyone in the affected areas in our thoughts and prayers. Be
safe.

Barack

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La Défense brade ses tours : Phare et Majunga génèrent 250 millions d’euros de manque à gagner (JDD)
Source:monputeaux.com

6363523093_af7d1f0930On le sait, le quartier d’affaires de La Défense traverse une grave crise. Selon le Journal du Dimanche, la Cour des comptes s’intéresserait à 2 projets de tours lancés par le promoteur Unibail : Phare et Majunga, toutes les 2 situées sur le territoire de Puteaux. Les droits à construire de ces 2 tours auraient été bradés par l’aménageur public, l’EPADESA, générant 250 millions d’euros de manque à gagner par rapport aux prévisions ! Extraits :

« (..) Résultat, selon le JDD : les prévisions de recettes (de l’EPADESA) ont été ramenées de 337 millions  d’euros à 101 millions d’euros pour 2012. À fin août, seulement 36,9  millions d’euros avaient été encaissés. Et le déficit pourrait s’élever  à 400 millions d’euros en 2016. « Les comptes ressemblent à ceux d’une  épicerie. C’est pourquoi la Cour intervient », s’agace Patrick Devedjian, administrateur de l’Epadesa. La ministre du Logement, Cécile Duflot, a  demandé « plus de transparence » et une remise à plat de la stratégie.  Sans faire mystère que la recherche d’un nouveau directeur général  est déjà lancée. Arrivé en octobre 2008, l’actuel patron Philippe Chaix a remis à plat ces deux projets, pourtant lucratifs à l’origine. Selon  des documents que le JDD s’est procurés, la Défense devait à  l’époque gagner environ 200 millions d’euros grâce à la vente  des terrains pour la tour Phare. Le nouveau patron a fini par accepter  la proposition d’Unibail de novembre 2008 de revoir l’accord en écrasant la marge à 0 euros ! (..) Dans le même temps, la tour Majunga, qui devait rapporter 100 millions  d’euros, a été renégociée à 35 millions d’euros, l’équivalent  d’environ 700 € du mètre carré (..) Les experts de l’Epadesa estimaient, dans une note récente, qu’en  dessous de 1.400 euros du mètre carré, une opération n’est pas rentable (..) Beaucoup crient au favoritisme envers Unibail. « Nous sommes le seul  acheteur et prenons tous les risques », objecte Olivier Bossard, son  directeur général du développement (..) ».

(photo : chantier de la tour Majunga en novembre 2011, archives Flickr)

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Capture d’écran du site nosdéputés.fr

Mr Jean-Christophe  Fromentin, Député UDI de la 6 ème Circonscription des Hauts-de-Seine, en remplacement de Mme Joëlle  Ceccaldi-Raynaud qui n’a pas été réélue Députée de la Circonscription  Neuilly-Puteaux. Ce Député  est beaucoup plus actif que Joëlle , car il fait partie des 150 premiers, alors que Joëlle faisait partie des 150 derniers. nous espérons que cela continuera tout au long de son mandat.

 

http://www.nosdeputes.fr/jean-christophe-fromantin

 

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Un sidérurgiste russe s’intéresse au site de Florange

Le Monde.fr avec Reuters

Les portes d'entrée de l'aciérie de Florange soudées par les salariés d'ArcelorMittal, lundi 1er octobre.
Les portes d’entrée de l’aciérie de Florange soudées par les salariés d’ArcelorMittal, lundi 1er octobre. | REUTERS/VINCENT KESSLER

 

Le sidérurgiste russe Severstal, propriété de l’oligarque Alexeï Mordachov, étudie le rachat des hauts-fourneaux de Florange (Moselle) mis en vente par ArcelorMittal, croit savoir lundi le site Internet des Echos, citant des sources concordantes.

Alexeï Mordachov, le principal actionnaire du sidérurgiste russe, chevalier blanc d’Arcelor lors de l’OPA de Mittal en 2006, a entamé des discussions il y a deux semaines environ, a dit au quotidien un responsable à Moscou au fait des investissements russes en France. ArcelorMittal n’était pas immédiatement disponible pour commenter.

Le groupe prévoit un plan social relatif aux 629 emplois – sur un total de 2 750 – qui seraient supprimés par l’arrêt des installations de Florange. Jean-Pierre Jouyet, le futur président de la Banque publique d’investissement, a suscité il y a dix jours des réactions syndicales et politiques indignées en affirmant que la BPI aurait pour mission de soutenir des projets d’avenir, non les « canard boîteux », une allusion notamment aux hauts-fourneaux de Florange.

 

La Gazette de Puteaux:

Les Champs-Elysées et certains grands magasins sont rachetés par le Qatar, les Châteaux  et le Vignobles Français sont rachetés par les Chinois. Maintenant c’est le site des Hauts Fournaux de Florange  qui risquent d’être racheter  par  un Sidérurgiste Russe. C’est vraiment lamentable que la France  soit rachetée  par les Pays  étranger.

 

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La mère de la petite Elise condamnée à deux ans de prison avec sursis

 

JUSTICE – Elle était jugée pour «soustraction d’enfant par ascendant» et «complicité de violence aggravée»…

La mère de la petite Elise a été condamnée ce mardi à deux ans de prison avec sursis et 8.000 euros de dommages et intérêts par le tribunal correctionnel de Tarascon (Bouches-du-Rhône). Elle était accusée d’avoir enlevé à deux reprises l’enfant en 2007 et 2009 alors qu’elle était en conflit avec son ex-mari. Irina B. devra également rembourser 500 euros de frais de justice à son ex-mari.
Le  parquet avait requis ce mardi trois ans de prison avec sursis, accompagné d’un  suivi socio-judiciaire sur dix ans, contre la mère de la petite Elise,  enlevée violemment à son père Jean-Michel par deux hommes en mars 2009 à  Arles (Bouches-du-Rhône). Agée de 41 ans, Irina Belenkaïa comparaissait  devant le tribunal correctionnel de Tarascon (Bouches-du-Rhône) pour «soustraction d’enfant par ascendant et complicité de violences  aggravées». Elle était suspectée d’avoir kidnappé sa fille Elise par deux  fois, en 2007 puis 2009.

Le procureur Christian Pasta a  souhaité prononcer «une peine d’apaisement pour que l’on sorte de ce  cercle interminable d’enlèvements». «On ne s’est pas soucié de parler  d’Elise aujourd’hui», a-t-il déclaré, avant d’ajouter: «Si on aime tant  Elise, on ne se retrouve pas dans une enceinte correctionnelle. Cette  affaire est le dossier de l’enfance sacrifiée.»

Bonne foi

Au cours de son  procès, Irina Belenkaïa a cherché à prouver sa bonne foi. A propos des faits de  2007, elle a expliqué avoir agi sous le coup de la peur. «Jean-Michel  (…) m’a menacé de me retirer la garde d’Elise et de me forcer à lui  verser une pension. Je n’avais pas l’intention de quitter la France pour  toute ma vie», a-t-elle clamé. Sur les fait de mars 2009, la mère  d’Elise a été beaucoup moins explicite, n’avouant pas avoir organisé  l’enlèvement de la fillette. «Je n’avais pas l’intention de faire du  mal» à son père, a-t-elle avancé.

A la barre, son ex-époux, qui  s’est défendu sans avocat, a souligné avoir cherché en vain à trouver un  terrain d’entente avec son ancienne femme. Quand Irina a fui à Moscou  avec sa fille en 2007, «elle a refusé d’établir quelque contact que ce  soit avec Elise», a-t-il affirmé. «Elle a refusé de présenter Elise,  elle a refusé de donner ses coordonnées téléphoniques, elle a coupé  court à la médiation», a-t-il ajouté.

Le 23 novembre 2007, alors  que le juge des affaires familiales interdit aux parents d’Elise de lui  faire quitter le territoire français, Irina Belenkaïa quitte l’Hexagone le  lendemain pour rejoindre la Russie avec sa fille. Le père de l’enfant a  alors porté plainte et récupéré Elise en septembre 2008. Quelques  mois plus tard, le 20 mars 2009, Elise, âgée de trois ans et demi, est à  nouveau enlevée, cette fois dans une rue d’Arles, sous les yeux de son  père. Ce dernier est passé à tabac par deux hommes qui lui ont asséné  plusieurs coups de poing et de matraque électrique.

Les auteurs directs des faits pas identifiés

Lors des faits, une  femme portant une perruque a enlevé l’enfant. Pour le père d’Elise, il  s’agissait de son épouse avec qui il était en instance de divorce. A la  suite de cette agression, il avait obtenu une incapacité totale de  travail de 15 jours. Aussitôt après, le plan enlèvement avait été activé  en France. Irina Belenkaïa  a finalement été interpellée en Hongrie, alors  qu’elle s’apprêtait à passer la frontière avec l’Ukraine le 12 avril  2009. Placée en détention, elle a été extradée vers la France en mai  2009.

L’instruction a conclu que la mère de l’enfant était bien à  l’origine de ce nouvel enlèvement. Deux hommes lui auraient proposé de  l’aider à enlever Elise, ce qu’elle aurait accepté. Selon les éléments  de l’enquête, Irina Belenkaïa  aurait préparé le kidnapping en louant notamment  par Internet le véhicule qui a servi au moment des faits et en réservant  une chambre d’hôtel à Tarascon pour les deux hommes de main. En  revanche, les auteurs directs des faits n’ont pu être ni identifiés, ni  interpellés.

Irina Belenkaïa encourt, au titre de la «soustraction  d’enfant par ascendant», une peine qui peut aller jusqu’à trois ans  d’emprisonnement ferme.

                  Sipa

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Un homme de 32 ans a été tué dimanche matin d’une balle dans la tête, au cours d’une soirée privée réunissant une centaine de personnes dans un restaurant, à Saint-Laurent-du-Var, dans les Alpes-Maritimes.
Un suspect toujours en garde à vue lundi matin
L’homme, originaire du Cap Vert, a été abattu à bout portant vers 2h00 du matin, dans un recoin du restaurant où étaient conviés essentiellement des compatriotes pour une soirée sur le thème d’Halloween, a précisé le parquet de Grasse. Une autopsie devrait être réalisée rapidement.
Au cours de la soirée, une altercation avait eu lieu entre un homme et la victime, devant la compagne de ce dernier. C’est dans un deuxième temps que l’homme de 32 ans a été tué par balle.
Un suspect d’origine cap-verdienne était toujours en garde à vue lundi matin, à la Sûreté départementale de Nice, alors qu’un deuxième suspect a été relâché dimanche, selon le parquet.
Plusieurs convives du restaurant situé dans une zone industrielle s’étaient dispersés avant l’arrivée des policiers au petit matin dimanche, mais nombre de personnes alcoolisées étaient restées sur place.
Un service de sécurité, non officiel, avait été organisé pour la soirée. L’homme en garde à vue pourrait avoir fait partie de ce service d’ordre, a-t-on appris de source judiciaire.
Trois personnes avaient par ailleurs été placées en garde à vue dimanche pour avoir démoli du matériel du restaurant, après le meurtre.

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