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Archive for février 2023

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L’illustre chef français Guy Savoy vient d’être rétrogradé par le guide Michelin pour la première fois depuis 2002. Un véritable chamboulement pour celui qui partageait il y a peu encore sa vie avec Sonia Mabrouk.

Guy Savoy victime d’un camouflet : coup de tonnerre dans la vie de l’ex de Sonia Mabrouk© BestImage, VEEREN / BESTIMAGE

Les temps sont décidément bien durs pour Guy Savoy. Virtuose de la cuisine française, le chef de 69 ans a appris une terrible nouvelle très récemment. En effet, il va perdre la troisième étoile de son restaurant parisien, dans le 6ème arrondissement de la capitale, a-t-on découvert dans Le Figaro ce mardi 28 février. Une annonce qui fait l’effet d’un véritable cataclysme dans le monde de la gastronomie puisqu’il s’agit d’une première depuis 2002 pour Guy Savoy, qui s’est imposé depuis plus de quarante ans maintenant comme l’un des tout meilleurs cuisiniers du monde.

Mais cette décision génère aussi de l’étonnement, puisque son établissement, le bien nommé Restaurant Guy Savoy, a pourtant été élu pour la sixième fois consécutive « meilleur restaurant du monde » selon le classement international établi par La Liste. De quoi renforcer le sentiment d’incompréhension. Guy Savoy n’est d’ailleurs pas le seul concerné puisque le chef Christopher Coutenceau est victime de la même sentence, alors qu’il avait obtenu cette fameuse et tant attendue troisième étoile en 2020 seulement, pour son restaurant situé à La Rochelle et dans lequel il ne propose aucune viande, mais uniquement des plats avec du poisson.

Un coup dur de plus

D’autant plus que le chef connaît aussi des remous importants dans sa vie privée. Il vivait une belle idylle avec la journaliste Sonia Mabrouk, 24 ans de moins que lui, rencontrée en 2013, et ont officialisé leur couple en 2018. Les deux amoureux se sont d’ailleurs mariés à cette occasion. Seulement voilà, le feu s’est consumé et Sonia Mabrouk a fini par nous annoncer en exclusivité sa séparation du chef étoilé en fin d’année dernière, expliquant que leur couple n’était « plus d’actualité« . Mais nul doute qu’au vu de la réputation de Guy Savoy, ce taulier de la cuisine française saura remonter la pente. Que ce soit derrière les fourneaux ou dans sa vie amoureuse !

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« Il est actuellement dans un état critique et c’est une situation d’attente. Sa famille est au courant et attend des nouvelles des médecins ». C’est par ces quelques mots que Charles Lago, le manager de Tom Sizemore, a annoncé il y a quelques jours l’hospitalisation en soins intensifs du comédien vu notamment dans Il Faut sauver le Soldat RyanEnnemi d’Etat ou encore La Chute du faucon noir.

Victime d’une rupture d’anévrisme, il serait dans un état désespéré selon ses médecins. Ce qu’a confirmé son manager dans un court communiqué transmis notamment à Variety« Les médecins ont informé sa famille qu’il n’y avait plus d’espoir et ont recommandé une décision de fin de vie. La famille est maintenant en train de décider des questions de fin de vie et une nouvelle déclaration sera publiée mercredi. Nous demandons l’intimité de sa famille pendant cette période difficile et ils souhaitent remercier tout le monde pour les centaines de messages de soutien et les prières qui ont été reçus. Cela a été un moment difficile pour eux », a-t-il affirmé.

Hospitalisé d’urgence en pleine nuit après cette rupture s’anévrisme liée à une crise cardiaque, Tom Sizemore « est resté dans un état critique, dans le coma et en soins intensifs« , a par ailleurs précisé le manager du comédien qui n’a que 61 ans. Figure remarquée au cinéma grâce à ses personnages de durs à cuire, il a aussi marqué les esprits dans les rubriques faits divers. Dans les années 2000, il a en effet été arrêté à plusieurs reprises pour possession de drogues. Il a d’ailleurs reconnu en 2010, dans un entretien accordé à CNN, avoir été accro à la cocaïne, à l’héroïne et aux méthamphétamines. Il a aussi été interpellé pour violences conjugales.

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Les débats à rallonge sur la réforme des retraites ont mis en exergue la consommation d’alcool des députés à la buvette de l’Assemblée nationale où certains élus ont été aperçus ivres. L’ancien ministre des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, évoque sur RMC une tendance qui touche tous les groupes, mais certains plus que d’autres.

Jean-Baptiste Djebbari sur le plateau des « Grandes Gueules » le 28 février 2022© RMC

Les débats ont été nombreux et animés à l’Assemblée nationale pendant les deux semaines d’examen de la réforme des retraites. Et pas seulement dans l’Hémicycle. À la buvette, les députés n’ont pas lésiné sur leur consommation d’alcool. Bière, vins, champagne, les serveurs de l’Assemblée ont été débordés devant la demande des élus.

Une pratique qui n’est pas nouvelle: « Je confirme que ça picole à l’Assemblée nationale » assure ce mardi sur le plateau des « Grandes Gueules » l’ancien ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari. »Les députés vont dîner à la buvette ou y prendre une pause et c’est vrai qu’il y a des champions du bouchon, ce sont toujours les mêmes. Il y en a un peu partout mais il y a quelques groupes spécialistes notamment côté gauche de l’hémicycle, on en connaît quelques-uns des champions », tacle-t-il.

« Quand certains sont un peu trop allumés, les huissiers les empêchent de rentrer dans l’hémicycle »

La consommation d’alcool n’aurait cependant aucune influence sur la teneur des débats défend Jean-Baptiste Djebarri alors qu’insultes et cris ont émaillé l’hémicycle lors l’examen de la réforme des retraites. Et cela grâce au travail des huissiers: « Quand certains sont un peu trop allumés, les huissiers les empêchent de rentrer dans l’hémicycle ou les sortent. J’ai déjà vu des gens se faire sortir », explique l’ancien ministre. »La plupart des gens sont raisonnables, il y a une hyper-minorité qui boit un peu trop. Et par ailleurs, il y a assez peu de métiers où l’on finit à 5h tous les jours pendant 15 jours », justifie-t-il.

« Qu’ils picolent c’est leur problème, qu’ils rentrent en VTC payés par leur enveloppe parlementaire ce serait bien », appelle de son côté Barbara Lefebvre. « Mais il faut être exemplaire devant la représentation nationale », ajoute-t-elle. « Il y a 1 Français sur 10 malade de l’alcool, la France a un énorme problème d’alcoolisme », estime de son côté Etienne Liebig qui note donc que l’Assemblée nationale représente bien le pays.

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Michel Sarran, ici en 2016, dans l’enceinte de son restaurant éponyme à Toulouse, tout juste dépossédé de sa deuxième étoile au Guide Michelin.© Fournis par Le Huffington Post

RESTAURANTS – Le Guide Michelin a encore frappé et cette fois c’est le chef toulousain Michel Sarran qui en a fait les frais. À une semaine de la présentation de son palmarès 2023, le célèbre guide culinaire français a dévoilé lundi quelques-unes des grandes nouveautés de ce nouveau palmarès, dont certaines rétrogradations retentissantes.

Et à l’instar de Guy Savoy ou Christopher Coutanceau, le chef Michel Sarran fait également parti des déçus, après avoir été dépossédé de sa deuxième étoile pour son restaurant Michel Sarran à Toulouse, ouvert en 2003.

Dans la presse, le célèbre chef toulousain passé par le jury de Top Chef s’est confié sur cette mauvaise nouvelle ce mardi 28 février. Sur BFMTV, Michel Sarran a même confié avoir versé « quelques larmes » après avoir appris la nouvelle.

« C’est un moment du restaurant qui est difficile à vivre. Il y a des gens qui me soutiennent, qui m’aiment, ce n’est pas Michelin qui va changer ça. Hier j’avoue j’ai eu quelques larmes », a-t-il confié. Au Parisien, le chef étoilé parle même d’un coup de massue après avoir passé deux décennies avec deux étoiles au compteur.

« Sincèrement, ça fait mal. C’est un coup de massue. L’ego en prend un coup. Ça fait 20 ans que j’avais ces deux étoiles. Mais il faut l’accepter, relativise le chef, c’est un uppercut. Mais on n’est pas KO ».

Problème de méthode

« Je voudrais dire que c’est la première fois que c’est annoncé une semaine avant la parution du guide. Je ne trouve pas cela très respectueux pour mes équipes, ni pour les clients qui ont déjà réservé. On a l’impression d’être désigné comme les mauvais élèves de l’année… », peste Michel Sarran auprès du Parisien.

Une nouvelle apprise d’une drôle de manière selon sa version des faits : « Le patron du Guide m’a appelé en me disant qu’il continuerait la promotion de mon restaurant avec une seule étoile. C’est comme ça que j’ai compris que j’en avais perdu une […] Quand je l’ai eu au téléphone, j’étais dans la colère et l’incompréhension. Il m’a dit qu’il fallait que je me rapproche des inspecteurs ». Sur BFMTV, il reconnaît d’ailleurs la difficulté d’apprendre la nouvelle sans en connaître les raisons, une frustration de plus pour celui qui a été remplacé à l’été 2021 par le chef triplement étoilé Glenn Viel dans Top Chef.

« Je trouve que ce n’est pas respectueux du travail qui est fourni par les équipes, d’autant qu’on sort d’une période compliquée, avec le Covid, l’inflation, les difficultés de recrutement, etc. », dénonce encore Michel Sarran qui dit l’avoir « vraiment en travers ».

Pour autant, le chef au célèbre tablier noir reste positif et assure qu’étoilé ou non, il continuera de faire sa cuisine pour ses clients avant tout autre chose. « Michelin n’a jamais été ma ligne de conduite, je ne travaille pas pour Michelin mais pour les gens qui viennent tous les jours », assure-t-il au micro de BFMTV.

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Après l’AVC de l’humoriste, de nombreux internautes se sont interrogés sur le timing de l’accident

Le comédien a été mis en examen pour homicide involontaire.© Geoffroy VAN DER HASSELTFAKE OFF – Après l’AVC de l’humoriste, de nombreux internautes se sont interrogés sur le timing de l’accident

Revirement dans l’affaire Palmade. Ce samedi, l’humoriste a été victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) à l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif (Val-de-Marne). Après l’annonce, de nombreux internautes questionnent le timing de cet accident. « En France il y a 150.000 AVC par an sur 58.000.000 habitants, soit une probabilité de 0,26 %. Ajoutez à cela l’improbable timing d’une période de 10 jours sur 365, c’est ridicule », calcule un internaute sur Twitter. « Là, c’est sûr qu’il n’ira pas en prison ! C’est arrangé tout ça ! Qui le protège ? », fustige une autre.

Si ce lundi, la cour d’appel de Paris a tout de même décidé de placer Pierre Palmade en détention provisoire, il est important de revenir sur cette prétendue manipulation. En vue des circonstances et de sa santé, il est tout à fait probable que l’humoriste ait réellement été victime d’un AVC, sans qu’il soit inventé. 20 Minutes revient sur ces facteurs aggravants pouvant expliquer l’accident.

FAKE OFF

Depuis le début de l’enquête, plusieurs éléments ont été dévoilés autour de la vie privée de Pierre Palmade, notamment sur sa consommation de drogues. Après son accident de voiture, le 10 février, les tests à la cocaïne et à d’autres substances se sont avérés positifs.

Vidéo associée: Pierre Palmade blacklisté : la descente aux enfers de l’humoriste (ELLE)

Des études se sont déjà attardées à prouver que la cocaïne pouvait provoquer des AVC. D’après un travail publié à l’occasion de l’International Stroke Conference, en 2014, la consommation de cette drogue multiplierait par sept le risque d’AVC dit « ischémique » [occlusion d’une artère dans le cerveau]. Ils auraient lieu dans les 24 heures après la prise. D’autres drogues peuvent également avoir cet effet : le cannabis, l’ecstasy, les opioïdes, le LSD et la PCP [Phéncyclidine].

De multiples facteurs additionnés

La consommation d’alcool ou le surpoids peuvent également constituer des circonstances aggravantes dans d’autres cas. D’autres facteurs sont également mis en avant sur le site de l’Inserm. « Le niveau de pression artérielle, l’excès de cholestérol, le diabète, l’obésité, la fibrillation auriculaire, le tabagisme, une consommation d’alcool excessive et la sédentarité ».

Des risques majoritairement modifiables

Des études ont également montré que la grande majorité des AVC dépendaient en réalité de risques modifiables. Une étude également publiée dans The Lancet cette année montre que le tabac par exemple doublait le risque d’AVC (voire le quadruplait avant 50 ans). La consommation d’alcool et la sédentarité sont également mises en cause dans l’étude. D’après le neurologue et président de la Société Française Neuro-Vasculaire (SFNV), le Pr Serge Timsit, interrogé par Franceinfo, « 90 % des accidents vasculaires cérébraux dépendent de dix facteurs de risque modifiables ».

A contrario, d’autres facteurs sont non modifiables, explique la revue Médecines sciences : l’âge, le sexe [l’incidence est plus élevée chez les hommes], ou les facteurs ethniques ou socio-économiques et culturels. Enfin, un antécédent familial d’AVC multiplie par deux le risque.

Justice

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La sombre histoire de la prison historique la plus célèbre au monde

L’Eastern State Penitentiary à Philadelphie, en Pennsylvanie, est l’une des prisons les plus célèbres d’Amérique, et même du monde entier. Mais quelles histoires se cachent derrière les murs du premier centre de détention ?

Parcourez cette galerie pour découvrir la sinistre histoire de l’ancienne prison la plus célèbre au monde…

Elle a été inspirée par une autre prison

Le pénitencier d’Eastern State a été inspiré par la prison de Walnut Street à Philadelphie, en particulier par les cellules de la nouvelle maison pénitentiaire créée en 1790.

Elle a été inspirée par une autre prison

Les cellules étaient utilisées pour punir les prisonniers qui n’avaient pas de longue peine, en les confinant individuellement. Étant l’une des premières prisons aux États-Unis, elle a servi de modèle.

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La Société des Prisons de Pennsylvanie a fondé ce qu’on appelle le Système Pennsylvanien, qui consistait à placer les prisonniers en isolement, à développer leurs compétences commerciales, et à leur procurer un enseignement religieux

Le bâtiment

Les problèmes de surpopulation et de taille des cellules de la prison de Walnut Street ont rendu difficile la mise en œuvre du Système Pennsylvanien. C’est pourquoi un nouveau bâtiment a été construit spécialement à cet effet.

La construction

La construction de l’Eastern State Penitentiary à Philadelphie a été acceptée le 20 mars 1821.

Le budget

Le budget du nouveau pénitencier était de 100 000 dollars au départ, mais lorsqu’il a été achevé en 1836, son coût final s’élevait à près de 780 000 dollars, ce qui équivaut à environ 25 millions d’euros aujourd’hui.

Le premier détenu

Charles Williams, un fermier noir de dix-huit ans, a été le premier détenu à être enfermé dans la prison d’Eastern State, en octobre 1829.

Le premier détenu

Il a subi deux ans d’isolement solitaire pour avoir volé une montre en or ainsi que d’autres objets.

Un design innovant

L’architecte John Haviland a conçu un bâtiment à l’allure drastique se composant de sept blocs de cellules partant du centre et de 76 cellules dans chaque bloc, dont les murs de pierre avaient une épaisseur de 45,72 cm.

Les cellules faisaient 3,5 mètres de long sur 2,5 mètres de large et étaient réservées au confinement des prisonniers, qui étaient autorisés à faire une heure d’exercice par jour dans la cour

Les compétences commerciales

Les détenus devaient apprendre de nouvelles compétences à des visées commerciales, comme fabriquer des chaussures, des chaises ou des produits textiles dans leur cellule. En plus du travail, de l’isolement solitaire et du temps passé dans la cour, ils devaient également prendre part à des services religieux.

La punition

Les punitions physiques et mentales pour avoir enfreint les règles de la prison étaient particulièrement sévères. Les camisoles de force étaient souvent utilisées, mais les personnes incarcérées étaient également soumises à des actes de torture.

Charles Dickens a écrit sur la prison

Le célèbre écrivain anglais a abordé l’isolement qui avait lieu au sein de cette prison. Il a écrit: « Il voit les gardes, mais à une exception près, il ne regarde jamais une contenance ou une voix humaine. C’est un homme enterré en vie, à déterrer au fil des années, et à la fois mort pour tout sauf pour ses angoisses torturantes et son désespoir horrible. »

Al Capone

Le gangster a passé moins d’un an derrière les barreaux de la prison. Vous pouvez observer sur la photo, sa cellule qui était bien plus luxueuse que celle des autres détenus.

La surpopulation

Face à la surpopulation, la première solution était de mettre plus de personnes dans une même cellule. Mais de nouvelles cellules, connues sous le nom de « Klondike » ont été construites au sous-sol, sans fenêtres ni plomberie.

Les révoltes de la prison

En 1933, une autre rébellion a eu lieu, suivie de la plus grande de toutes (impliquant 800 détenus), le 8 janvier 1961.

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Mardi 21 février, une jeune fille de 18 ans se promenait dans le quartier de Bourrassol à Toulouse lorsqu’elle a été abordée par trois hommes.

Ces derniers lui ont proposé une boisson et elle a accepté sans se méfier.

Après, cette étudiante a de vagues souvenirs. Elle a pris les transports en commun avec les hommes qui l’ont fait monter dans un appartement.

Puis, elle s’est réveillée sur un sofa entièrement dénudée. Les trois hommes et un complice se trouvaient dans cette pièce.

Totalement privée de sa volonté, la victime est alors entrée dans une chambre où elle a été violée par l’un des quatre hommes.

Après plusieurs heures de séquestration. lui ont rendu ses vêtements qu’ils avaient pris soin de nettoyer puis l’ont laissé repartir.

La victime a porté plainte le soir même. Une enquête a été ouverte et les violeurs, qui n’ont toujours pas été identifiés, sont activement recherchés.

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Les faits se sont déroulés jeudi après-midi à Pontoise, dans le Val-d’Oise.

Vers 15H45, une jeune femme se trouvait rue Carnot lorsqu’elle a reçu un coup de couteau.

Touchée à la cuisse, la victime a refusé d’être prise en charge par les secours.

Selon les premiers éléments, l’auteur du coups de couteau serait son ex-compagnon.

Ce dernier a pris la fuite.

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Alexandra Pouillot, 50 ans, a comparu en appel devant la cour d’Assises d’Aix-en-Provence pour le meurtre d’un bébé de 8 mois.

Les faits se sont déroulés le 4 décembre 2017 à Cagnes-sur-Mer, dans les Alpes-Maritimes.

Ce jour là, cette assistante maternelle a secoué à mort Gabriel, le bébé de 8 mois dont elle avait la garde.

Placé en garde à vue, la nounou avait gardé le silence pendant 32 heures avant de reconnaître, face à l’autopsie, que le bébé avait chuté et qu’elle l’avait secoué à trois ou quatre reprises pour le réanimer.

A l’audience, elle a mimé les gestes qu’elle aurait eus tout en criant, à plusieurs reprises : « Réveille-toi bébé ! »

L’accusée a continué d’affirmer sa version accidentelle des faits. Mais les jurés ne l’ont pas cru.

Après une semaine de procès, elle a été jeudi condamnée à 15 ans de réclusion criminelle, soit trois ans de plus qu’en première instance.

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