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Archive for Mai 2011

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a Défense, un quartier d’affaires au coeur du pouvoirDurée : 52 minutes

 voir  vidéo ci dessus

A quelques kilomètres à l’ouest de Paris, La Défense est le plus grand quartier d’affaires européen. Une concentration exceptionnelle de puissance économique, siège des plus grandes entreprises du CAC 40. Depuis sa création en 1958, ce territoire dispose d’un statut hors norme, incarné par un établissement public, l’Epadesa*. Ici, c’est l’Etat qui décide.
Nicolas Sarkozy a lancé en 2006 un grand plan de renouveau de La Défense, qui prévoit la construction de plusieurs tours aussi hautes que la Tour Eiffel.
En octobre 2009, l’élection annoncée de son fils Jean Sarkozy, 23 ans, à la présidence de ce qui s’appelait encore l’Epad* a scandalisé l’opinion, conduisant finalement Jean Sarkozy Président à renoncer au poste.
* nouveau nom de l’EPAD

A cette occasion, le monde entier a pris conscience de l’importance stratégique de ce territoire. Dans le périmètre de l’Epadesa, les lois, la fiscalité et l’urbanisme sont taillés sur mesure pour les grandes entreprises multinationales.

Ce film vous invite à une plongée au coeur de cet univers hors du commun, dans le quotidien des acteurs les plus puissants – grands patrons, promoteurs, élus – du quartier d’affaires. Au coeur du pouvoir.

Commentaire de la Gazette de Puteaux:

Incapable de voir que le promoteur n’était  pas solvable, elle a persisté et signer  voila messieurs  et Mmes  les  puteoliens cela  vas  nous couter très chèr.

Pour des  petit s projets  comme la voirie de la commune pas de problèmes  mais elle est incapable de géré des grands  projets.

Merci à  Christophe  Grébert de l’ avoir mise en place.

Qui a payé les frais de déplacement de Mme le Maire lorsqu’elle est allée en Russie signer le projet, vu que la Maison mère Hermitage est basée en Russie ?  Et bien ce sont les Putéoliens bien sur. Pour changer  les sanisettes   pour chiens il n’y a pas de problème, pour faire du chantage ou de la pression sur certains Putéoliens là non plus il n’y a pas de problème, mais en se qui concerne  la gestion de la défense, elle n’a pas les qualifications requises pour ça. J’en appel au Président de la République qui est déjà très bas dans les sondages  de se réveiller et de voir les bilans désastreux de certains Députés de sa Majorité comme c’est le cas pour Mme Ceccaldi , et qui de se fait pousse le Président dehors. Ce ne sont pas les Français qui sont en cause, mais les Députés qui se croient au dessus de tout, qui mettent en cause le président de la République. Prenons exemple  pour le Service Civique, elle a  écrit  au bout de deux ans  une dizaine de lignes qui ne sont pas exactes, des erreurs de chiffres………. Le président de SEFCA  PUTEAUX qui est très investi  sur le projet du Service Civique créer  par Mr Martin Hirch avec l’aide de Mr Christian Demuynck , et bien le Président de SEFCA à détailler le Service Civique , et ce n’est pas en  une dizaine de  lignes. Comme je l’ai dit Mme Ceccaldi est incapable de retransmettre aux  Putéoliens  les directives du Gouvernement. Mme  Ceccaldi dit qu’elle fait référence à la  loi et strictement  à la  loi lors des Conseils Municipaux, seulement elle ne connait rien en loi, puisqu’elle n’a jamais eu son Doctorat en Droit, ni  Notaire, et encore moins Clair de Notaire. Cela à été démontré avec des courriers officiels. Ni Avocat. (Le Droit est complexe Mme le Maire).

Je pose  la  question à Mr Charles ceccaldi-Raynaud qui est son père (oups ! pardon ne vous facher surtout pas Mr Ceccaldi-Raynaud)  c’est juste une question que tous les Putéoliens se posent  à savoir : « A –telle eu son bac ? » Je rappel que se n’est pas par ce que vous avez le bac , qu’automatiquement vous savez gérer votre ville.

 

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Colonna a demandé à son ami de l’innocenter

Par FTV (avec agences)  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dessin représentant Yvan Colonna lors de son procès.

AFP/BENOIT PEYRUCQ

Yvan Colonna a écrit en décembre 2010 à Pierre Alessandri afin qu’il l’innocente de l’assassinat du préfet Erignac

C’est ce qu’ont relaté samedi RTL et Europe 1.

La lettre, datée du 19 décembre, a été saisie dans la cellule de Pierre Alessandri, condamné à perpétuité après avoir endossé le rôle du tireur. Elle a été remise vendredi soir par la police judiciaire au président de la Cour d’assises spéciale de Paris, où Yvan Colonna est jugé pour la troisième fois.

 
Dans cette lettre de quatre feuillets, écrite en langue corse, Yvan Colonna écrit à Pierre Alessandri: « J’ai pris perpétuité et 22 ans de sûreté et j’attendais que tu fasses une lettre et que tu cries haut et fort mon innocence. » Le berger de Cargèse poursuit: « Tu m’as trahi et sacrifié et tu as trahi 25 ans d’amitié sincère ». Yvan Colonna demande ensuite à Pierre Alessandri de « tout faire pour le sortir de là ». Sinon, menace-t-il, « ce sera la guerre au procès et au dehors.

Le président de la cour a versé cette lettre aux débats. Yvan Colonna est jugé une troisième fois à Paris pour l’attaque de la gendarmerie de Pietrosella en 1997 et pour l’assassinat de Claude Erignac, le 6 février 1998 à Ajaccio. La confirmation en appel de sa condamnation à perpétuité a été annulée pour vice de procédure.

Après avoir assuré après son arrestation en mai 1999 qu’Yvan Colonna appartenait au commando, Pierre Alessandri, le plus proche de ce dernier parmi les membres du commando, s’était rétracté dès octobre 2000. Finalement condamné à perpétuité en 2003, Alessandrini a déclaré en 2004 qu’il était le véritable auteur des coups de feu.

Jeudi 26 mai, Alessandrini a confirmé à la Cour d’assises de Paris le nouveau récit d’Yvan Colonna pour tenter de démontrer son innocence. Selon cette nouvelle version, apparue cette semaine, Yvan Colonna avait été contacté pour faire partie du groupe de tueurs mais avait refusé, ce qui avait suscité un sentiment de rancune amenant ensuite les auteurs du crime à le mettre en cause à tort.

Lors du procès en appel de Colonna, Pierre Alessandri s’était adressé directement au berger de Cargèse, expliquant que sa « cavale » avait été une erreur: « J’aurais jamais imaginé que tu fasses une cavale aussi longue et mette autant d’entêtement à refuser de t’expliquer. Ta reddition aurait suffi à te disculper », avait-il enchaîné avant d’insister: « Ton entêtement dans ta cavale a conditionné ta culpabilité ».

Cette lettre est « une erreur », pour l’avocat de Colonna
L’un des avocats d’Yvan Colonna, Me Antoine Sollacaro, a reconnu samedi qu’avoir écrit en prison à un membre du commando pour lui demander de le disculper de l’assassinat du préfet Erignac, était « une erreur » dont l’accusation pourrait tirer parti.

« C’est manifestement une erreur d’Yvan d’avoir fait ce courrier à Alessandri », a déclaré Me Sollacaro à l’AFP. « Du côté des parties civiles et du parquet, on va parler de pression et de menaces. » L’avocat ajaccien y voit pour sa part « un cri de désespoir ». Le procès devant la Cour d’assises spéciale de Paris « est la dernière chance de Colonna de faire reconnaître son innocence ».

Des témoins clés auditionnés le 24 mai
Mardi 24 ami, deux membres du commando ayant assassiné le préfet Erignac en 1998 ont blanchi Yvan ColonnaMartin Ottaviani et Marc Istria, déjà condamnés pour l’assassinat du préfet Erignac, ont affirmé à la cour d’assises de Paris qu’Yvan Colonna n’était pas impliqué dans le crime. Ces dépositions sont identiques à celles déja entendues aux deux premiers procès du nationaliste corse en 2007 et 2009.

Leurs déclarations, jugées ambiguës aux deux premiers procès, n’avaient toutefois pas convaincu la cour, qui avait condamné le berger de Cargese à la perpétuité. « Yvan Colonna est innocent des faits qui lui sont reprochés. Il ne fait pas partie du groupe. Il n’a jamais participé ni de près ni de loin à l’action contre la gendarmerie de Pietrosella ou à celle contre le préfet Erignac », a déclaré Martin Ottaviani devant la cour.

Yvan Colonna est jugé une troisième fois pour l’attaque de la gendarmerie de Pietrosella en septembre 1997, où l’arme du crime avait été dérobée, et pour l’assassinat du préfet Erignac. La confirmation en appel de sa condamnation à perpétuité avait été annulée par la Cour de Cassation.

Martin Ottaviani a expliqué ses déclarations initiales par les « pressions » subies en garde à vue, disant que les policiers lui avaient présenté « un scénario dont il fallait à tout prix qu’Yvan Colonna fasse partie », et qu’il avait « validé ». C’est en « concertation » avec ses avocats qu’il a décidé d’attendre son propre procès, en 2003, pour « innocenter » Yvan Colonna, a-t-il dit.

Pour l’accusation, les agresseurs étaient trois: Alain Ferrandi et Pierre Alessandri, qui ont reconnu leur participation, et Yvan Colonna.

Mais Martin Ottaviani a refusé de donner des détails sur les faits. « Je n’ai rien à déclarer sur les faits », a-t-il répondu à toutes les questions. Il a également refusé de participer à la reconstitution envisagée le 6 juin à Ajaccio. Yvan Colonna est intervenu après plus de deux heures. « Je te dis franchement, Martin, je comprends pas. » Et d’ajouter: « Je peux comprendre les pressions, le scénario qu’on te sert, la confirmation chez le juge d’instruction. Par contre, ce que je comprends pas, c’est pourquoi vous avez attendu. Et là, aujourd’hui, te me donnes pas d’explications. »

Quant à Marc Istria, interrogé en visioconférence, qui purge aussi une peine de 20 ans de réclusion pour avoir aidé les tueurs à fuir, il a expliqué à la cour qu’il niait toute participation et ne savait donc rien. A la différence des autres protagonistes, il a en effet toujours tout nié, même en ce qui le concerne.

« Il en est un qui sait tout, c’est Alain Ferrandi« , a estimé la semaine dernière l’ancien préfet Bernard Bonnet, qui avait succédé à Claude Erignac jusqu’à ce que l’affaire des paillotes provoque sa chute. Alain Ferrandi avait reconnu sa participation au crime durant l’enquête, mais n’avait pas nommé ses complices. Il avait cependant admis que son épouse Jeanne avait « dit la vérité » lorsqu’elle avait déclaré aux policiers que lui-même, Pierre Alessandri (également condamné à perpétuité comme coauteur du crime) et Yvan Colonna avaient passé la nuit du 6 février à son domicile à Ajaccio.

Yvan Colonna, qui conteste tous les faits qui lui sont reprochés, maintient avoir passé la nuit seul dans sa bergerie de Cargese. Il avait été condamné en appel, en 2009, à la réclusion criminelle à  perpétuité assortie d’une période de sûreté de 22 ans, mais ce verdict a été annulé par la Cour de cassation pour vice de procédure

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Arles : l’enfant retrouvé pendu toujours dans un état grave

   ILLUSTRATION. Un enfant de 11 ans a été retrouvé pendu dans son école à Arles. Ils est en réanimation à l'hôpital.

ILLUSTRATION. Un enfant de 11 ans a été retrouvé pendu dans son école à Arles. Ils est en réanimation à l’hôpital.
| AFP

L’ enfant de 11 ans retrouvé pendu, jeudi matin, par le col de son tee-shirt à un porte-manteau dans un couloir de son école, à Arles (Bouches-du-Rhône), est toujours dans un état grave. Héliporté à l’hôpital de la Timone à Marseille, où il a été placé en réanimation, est «dans un état stationnaire, mais toujours aussi grave», a-t-on appris auprès de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM), vendredi dans la soirée.
 

 

«Le diagnostic vital reste fortement engagé», a-t-on ajouté de même source. Le garçon, qui se trouve en réanimation, dans un coma profond, est hospitalisé à la Timone à Marseille, où il avait été transporté par hélicoptère jeudi matin.Ce sont les enseignants de l’école André-Benoît-Anne-Franck, située dans le quartier Trinquetaille, sur les bords du Rhône à Arles, qui ont prévenu le Samu. Suivant les conseils téléphoniques des secours, les enseignants ont réussi à faire un massage cardiaque pendant dix minutes, avant que les médecins du Samu ne prennent le relais. Une cellule psychologique a été mise en place à destination des enfants, de leurs parents, des enseignants et du personnel de l’école communale.

Le président (PS) de la région Paca, Michel Vauzelle, et Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la Jeunesse et à la Vie associative, qui se trouvaient à Arles à l’occasion d’une journée consacrée au service civique, se sont rendus à l’école dès qu’ils ont appris la nouvelle.

«Personne ne peut s’imaginer ce que ça peut être avant de le voir. C’est un drame que vit une ville, et il faut penser aux parents», a confié Mme Bougrab, ajoutant qu’un rapport sur le suicide des jeunes et des enfants était attendu le 3 juin.

Le ministre de l’Education nationale Luc Chatel a annoncé qu’il se rendrait dans l’après-midi à Arles. «C’est un drame épouvantable, vous imaginez l’immense émotion de tout le monde ici, les enfants pleurent ou sont très impressionnés, leurs parents sont inquiets», a confié M. Vauzelle.

Selon le maire (PCF) d’Arles, Hervé Schiavetti, le drame s’est produit en début de classe, dans une école sans problème. Dans un communiqué, la ville parle d’«asphyxie accidentelle».

Selon un témoin, le garçonnet, qui avait été reçu par le directeur il y a une semaine parce que ce dernier sentait qu’il n’allait pas bien selon Mme Bougrab, aurait été sorti de la classe par son institutrice, parce qu’il chahutait.

Selon le maire d’Arles, l’enfant ne faisait a priori pas l’objet de signalement auprès des services de l’Aide sociale à l’enfance, dépendant du conseil général. Certains parents sont venus chercher leurs enfants, d’autres ont été conduits à la cantine sous la surveillance du personnel de l’école, qui restait ouverte pour le reste de la journée, gardée par des policiers.

«Les parents désireux de récupérer leurs enfants peuvent le faire exceptionnellement», disait une affichette sur le portail. Michel, père d’un écolier de 11 ans inscrit dans la même classe, raconte combien son fils a été choqué de voir son camarade allongé par terre. Cet enfant n’était «pas un garçon turbulent, pas bagarreur, il s’amusait avec tout le monde», relevait ce père.

Selon le parquet de Tarascon, l’enquête «part sur une thèse accidentelle», mais «il existe des éléments troublants», pouvant laisser penser à un suicide. L’enquête a été confiée au commissariat de police d’Arles.

«S’agit-il d’un jeu qui a mal tourné, d’un accident ou d’un suicide ?», s’est interrogé le vice-procureur de la République de Tarascon, Jacques Robert, qui s’apprêtait à la mi-journée à interroger l’institutrice de l’école où s’est déroulé le drame.

 

LeParisien.fr

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Affaire Erignac : la lettre qui fait rebondir le procès Colonna

 

Publié le 28.05.201i

   <!–Envoyer–>Archives. Yvan Colonna, jugé pour la troisième fois aux assises spéciales de Paris pour l'assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998, avait menacé Pierre Alessandri dans une lettre envoyée en décembre, et lui avait demandé de le tirer d'affaire selon un courrier révélé par RTL

Archives. Yvan Colonna, jugé pour la troisième fois aux assises spéciales de Paris pour l’assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998, avait menacé Pierre Alessandri dans une lettre envoyée en décembre, et lui avait demandé de le tirer d’affaire selon un courrier révélé par RTL | (AFP.)

Rebondissement dans le procès d’Yvan Colonna jugé pour la troisième fois aux assises spéciales de Paris pour l’assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998. Selon une information révélée par RTL, une lettre a été découverte et portée à la connaissance de la cour vendredi.
 

Dans cette dernière, écrite en décembre dernier, il aurait demandé à son ami d’enfance Pierre Alessandri, lui même condamné et incarcéré dans cette affaire en tant que membre du commando, qui a assassiné le préfet, de le tirer d’affaire.Le berger corse tout jeune marié qui va bientôt être papa se proclame innocent depuis toujours et  «a décidé de s’expliquer davantage», selon un de ses avocats.

Vendredi, le président de la cour d’assises a fait état de cette lettre manuscrite de quatre feuillets, rédigée dans la langue corse, retrouvée dans la cellule de Pierre Alessandri et envoyée avant l’ouverture de l’actuel procès. La lettre lui a été transmise par le directeur central de la police judiciaire à 18h15. Ce dernier a assuré que, «pour des raisons de sécurité», il ne pouvait révéler sa source. Dans cette lettre Yvan Colonna y accuse notamment Alessandri de l’avoir trahi et le menace, lui demandant de le disculper.

Cri de détresse ou tentative de pression sur témoins?

Yvan Colonna écrit notamment : «j’ai pris perpétuité avec 22 ans de sûreté. Je m’attendais à ce que tu dises haut et fort que je suis innocent». Le suspect principal dans l’assassinat de Claude Erignac précise «soit tu fais tout ce que tu peux pour me sortir, soit ce sera la guerre dedans ou dehors, tu m’as balancé, sacrifié».

Selon RTL, pour les proches de Colonna, cette missive est un cri de détresse de la part du berger corse. Pour l’accusation, c’est une preuve qu’il a tenté de faire pression sur l’un des témoins-clés du procès.Cette lettre datée du 19 décembre et qui doit encore être expertisée, le président a décidé de la verser aux débats.

La semaine dernière, Yvan Colonna avait déjà évoqué un nouveau scénario. Il aurait été approché par le commando pour participer à l’assassinat, mais aurait refusé. Résultat : les membres du commando l’auraient mis en cause par rancoeur. Une version que Pierre Alessandri a finalement confirmé à la cour d’assises de Paris jeudi dernier.

 

LeParisien.fr

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Bonjour,

nous recherchons pour Psychasoc un(e)  responsable pédagogique. Ci-joint
l’annonce et les conditions.

 PDF:  Annonce

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Chères Amies  Chers Amis
 
Depuis quelques mois une personne dirigeant une librairie dans le 93 vend les produits du comité de soutien à YVAN.
 
Cette personne est trés courageuse car elle s’est faite agresser verbalement plusieurs fois et elle continue, cependant elle doit ménager son gagne pain et elle n’expose plus ouvertement les livres t.shirts et autres, donc baisse des ventes, pour qu’elle puisse aider le comité en vendant tous les produits il faut la connaitre dans votre entourage si il y a des acheteurs elle présentera tous ce que je lui ai confié en depôt.
 
Librairie à 100m du R.E.R ( B) Le Bourget 31 Ave Jean Jaurès ( carrefour de l’Aviatic).
 
Je vous rappelle que le peintre Nimok a peint  une toile après le 2ème procès d’Yvan dont modèle ci joint, pour qu’elle soit vendue  au profit de son comité se soutien 
 
Cette toile représente   »   la Signadora »  40 X 50 cm
                                      pour retirer le mauvais oeil.
 
En 2010 nous la vendions 200€, mais nous sommes conscients que les temps sont difficiles pour tous, je propose donc de la vendre 150€ tout en participant personnellement, la personne qui est interessée me fait parvenir un chèque de 100€ et moi je rajoute 50€ ce qui fait bien 150€ pour le comité de soutien à Yvan.
 
Faire parvenir le chèque à mon domicile 9 rue d’Angleterre 93600 Aulnay  (libellé au nom du  » comité de soutien à Yvan colonna » )
 
Merci d’avance de bien transmettre partout autour de vous , Corse ,Région Parisienne , France et même plus loin encore.
 
 
 
LIBERTA PE YVAN !
 
Dan LODI
 

 

Pour tous renseignements complémentaires, contacter la Gazette de Puteaux par message , qui fera suivre à Dan Lodi. Merci à toutes et à tous  de soutenir Yvan dans son combat pour un procès réellement équitable qui c’est ouvert le Lundi 02 Mai 2011.la Gazette de Puteaux.

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NEW YORK: ils volent….le distributeur de préservatifs !

 

 

Des préservatifs dans leur pochette (photo d’illustration) | FlickR

Dans la journée de samedi   3 couples ont dérobé le distributeur de préservatifs dans un hôtel   située à Coup foireux

Dominique  et le FMI (Fourrage de minous internationaux)  n’ont pas hésité à démonter le distributeur armés d’un sextoy   (pour servir de levier) et d’un marteau.

Comme il était très tôt, leur petit manège a été suffisamment bruyant pour attirer l’attention ou réveiller les gens du voisinage qui ont cru à un cambriolage de l’hôtel.

Quand les POLICESMANS, prévenus, sont arrivés sur les lieux les « voleurs » avaient déjà pris la poudre d’escampette…

Leur ZIZI  avait été repéré par un témoin. Leur pantalon, et leurs braguettes  de couleur grise, a été retrouvée quelques kilomètres plus loin  de l’hôtel.

Les policemans ont retrouvé, dans leurs pantalons, le distributeur de préservatifs. Celui-ci ne contenait que 5 boîtes (pour une valeur d’environ 10 €)/

Le propriétaire du calçons  bleu blanc rouge a vite été identifié. Il a été interpellé samedi  matin et placé en garde à vue.
Dans le cadre de l’audition, il a  reconnu l’irresponsabilité de son  geste. « On cherchait un trophée et l’idée nous est venue en passant devant  cette jeune femme  a avoué l’un d’eux  explique le quotidien La pêche.

Le fêtard doit maintenant payer les dégâts causés par l’arrachage de la petite jupette de cette employée.

 La pêche.

Ceci est une fiction.

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Une jeune femme enceinte de quatre mois a perdu lundi son bébé à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul de Lille en raison d’une confusion dans l’administration d’un médicament destiné à une autre patiente. © Stephane Marc / PhotoPQR/Le Dauphiné libéré

Une jeune femme, enceinte de quatre mois, a perdu lundi son bébé à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul de Lille du fait de l’administration d’un médicament destiné à une autre patiente, a indiqué, vendredi, l’établissement qui a ouvert une enquête interne. Le même jour, une jeune femme a perdu son enfant à l’hôpital de Montauban (Tarn-et-Garonne) et a déposé plainte, affirmant avoir été laissée seule pour accoucher. Selon l’établissement, le bébé n’était pas viable.

À Lille, la jeune femme de 28 ans devait subir un cerclage du col de l’utérus destiné à prévenir un accouchement prématuré. Dans une chambre contiguë, une autre femme attendait un curetage, sa grossesse ne pouvant être menée à terme. Les médicaments destinés à cette dernière ont été administrés par erreur à la patiente enceinte de quatre mois par une étudiante sage-femme qui a omis de vérifier son identité. Au bloc opératoire, les médecins ont constaté les effets du médicament administrés par erreur qui a provoqué une dilatation du col de l’utérus et entraîné la perte du foetus.

« Ce qui a péché, c’est le contrôle ultime d’identité qui se fait au lit de la patiente », a expliqué lors d’une conférence de presse le docteur Denis Houzé de l’Aulnoit, chef de la maternité. « L’étudiante s’est trompée de chambre et n’a pas demandé l’identité de la patiente », a-t-il précisé. Le chef de service a expliqué qu’il s’était présenté après l’accident avec ses deux adjoints dans la chambre de la patiente. « Nous lui avons d’emblée expliqué ce qui s’est passé, nous nous sommes excusés avec beaucoup de compassion », a poursuivi le docteur Houzé de l’Aulnoit qui a précisé avoir demandé en urgence l’avis d’un psychologue. « C’est une erreur épouvantable qui est censée ne jamais arriver », a-t-il ajouté.

« Je voulais mon enfant »

Selon Lydia Way, directrice des soins infirmiers, l’étudiante était en fin de première année et une infirmière assurait le rôle de tuteur. « Le tutorat était parfaitement fait », a-t-elle affirmé. Le stage de l’étudiante ne sera pas validé, et elle risque d’être renvoyée de l’école. « L’erreur est humaine, et une telle expérience (…), ça marque à vie », a ajouté Lydia Way. « On est profondément atteints par ce qui s’est passé », a déclaré de son côté le directeur général délégué aux hôpitaux de l’Institut catholique Jacques-Yves Bellay, dont dépend l’hôpital. Il a témoigné de « toute la compassion qu’on puisse donner à cette famille qui est dans une grande souffrance, qu’on comprend, qu’on partage ». Aucun problème de sous-effectif dans l’établissement n’est en cause, a-t-il souligné.

La jeune femme victime de l’erreur a déclaré au quotidien régional La Voix du Nord qu’elle voulait « que l’on sache ce qui (lui) est arrivé, et que ça ne se reproduise pas sur une autre ». « Je voulais mon enfant, moi, et pas qu’on me l’enlève », a-t-elle ajouté. Ses proches envisagent de déposer plainte. Un rapport d’accident de l’hôpital précise que la jeune femme « a reçu toutes les informations relatives à l’évolution malheureuse de sa grossesse et à l’erreur d’administration de médicament dont elle a été victime

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Dominique Strauss-Kahn dimanche soir à la sortie du commissariat de Harlem, à New York. © Jewel Samad / AFP
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Taguieff : « Il est abusif de parler de théorie du complot »
Par Catherine Golliau
Dominique Strauss-Kahn est maintenu en détention par la justice américaine. Mais de nombreuses zones d’ombre subsistent dans le déroulé des faits qui ont mené le patron du FMI devant la justice américaine.

L’agression

– La femme de ménage affirme être entrée dans la chambre de Dominique Strauss-Kahn, la suite 2086 de l’hôtel Sofitel de la 44e avenue de New York, « en croyant qu’elle était inoccupée ».

Or, un porte-parole d’un grand groupe de palaces français nous confirme qu’aucun personnel d’entretien ne peut accéder à une suite tant que le check-out n’a pas été fait par son occupant. Ce qui était le cas ici.

– Selon les premières déclarations du porte-parole de la NYPD, Paul Browne, la femme de chambre affirme avoir été agressée par Dominique Strauss-Kahn samedi, à 13 heures (heure locale).

Problème, l’entourage proche de DSK indiquait, dimanche, à Paris, que Dominique Strauss-Kahn avait quitté l’hôtel à 11 h 45 pour rejoindre sa fille Camille vers 12 h 15 et déjeuner avec elle, avant de prendre un taxi directement pour l’aéroport JFK.

Le déjeuner

– D’après la police de New York, DSK aurait quitté précipitamment son hôtel pour se rendre directement à l’aéroport JFK.

« S’il s’est dépêché, c’est parce qu’il avait rendez-vous pour déjeuner et la personne avec qui il a déjeuné en témoignera », a déclaré l’avocat Benjamin Brafman à la juge Melissa Jackson. Un élément facilement vérifiable et qui pourrait donner des indications capitales sur l’emploi du temps de l’ancien ministre.

La « fuite » vers Paris

– L’oubli d’un téléphone portable de DSK a poussé la police new-yorkaise à évoquer un « départ précipité » de l’hôtel.

Or, Dominique Strauss-Kahn a bien signalé samedi son départ à la réception de l’hôtel Sofitel, a indiqué lundi le groupe hôtelier Accor, propriétaire des Sofitel.

– Dominique Strauss-Kahn a été interpelé à 16 h 40, alors qu’il se trouvait dans un avion à destination de Paris, le vol AF023 JFK-CDG.

Contrairement à ce qui a été indiqué, la réservation avait été faite plusieurs jours à l’avance sur ce vol et ne correspond pas à un changement de vol de dernière minute.

– DSK n’a pas pu voyager en « première classe », comme l’indiquait la police de New York samedi. Le vol AF023 est assuré en Airbus A330-200 équipé de trois classes : affaires, voyageur premium et voyageur.

Seuls les 777 et l’A380 au départ de New York-JFK sont équipés de première

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Le bébé prématuré décédé lundi à l’hôpital de Montauban (Tarn-et-Garonne) était mort-né, d’après les conclusions de l’autopsie de vendredi, communiquées par l’avocat des parents, qui dénonce une «négligence médicale» car la mère a selon lui accouché sans aucune assistance.

 

 


«Laisser quelqu’un en salle de travail avec un risque d’accouchement immédiat, c’est de la folie, c’est inconcevable. L’autopsie dit que l’enfant est mort-né, il n’a pas respiré. Est-il mort avant ou pendant l’accouchement ? L’enquête le dira», a déclaré à l’AFP Me Laurent Mascaras.

En marge de l’enquête préliminaire du parquet de Montauban, deux médecins inspecteurs ont été dépêchés sur place vendredi par l’Agence régionale de santé (ARS), pour interroger les personnels concernés et consulter les documents de l’hôpital pour établir exactement ce qui s’est passé. Cette enquête a pointé un «défaut d’organisation face à un niveau d’activité exceptionnel» au sein de la maternité, avec sept accouchements au lieu de deux ou trois lors d’une journée normale.  L’ARS a confirmé que la jeune femme de 22 ans s’est retrouvée seule pendant 30 minutes dans la salle d’accouchement de la maternité, mais qu’il s’agissait d’une fausse-couche.

«Aucune chance de survie»

«Ce n’est pas un accouchement d’un prématuré, c’est une fausse-couche tardive», a déclaré à l’AFP la porte-parole de l’ARS, Véronique Bardissa. L’ARS s’est dite «désolée» que la mère ait dû endurer cette épreuve, mais a souligné que «le foetus de 23 semaines et pesant 475 grammes n’avait aucune chance de survie».

L’ARS a assuré que des mesures seraient prises très rapidement. Le parquet devra décider de la suite de l’enquête et de nouvelles investigations éventuelles.
Il semble en tout cas ne pas s’intéresser pour le moment à l’autre aspect que dénonce Sophie Przybylski-Arbelot, d’avoir accouché sans aide, malgré ses appels au secours. Dans une vidéo de BFMTV, elle explique «avoir eu des échos que ça c’était déjà produit» (NDLR :  faisant référence au décès fin février d’un nourrisson de neuf mois aux urgences).

«Je me suis retrouvée toute seule»

Selon la maman, âgée de 22 ans, arrivée à l’hôpital après des contractions lundi après-midi, elle a été transférée dans une salle de travail. « Là, j’ai perdu les eaux, une sage-femme m’a auscultée et m’a dit que le travail commençait, tout en me confirmant qu’elle entendait bien les battements du cœur du bébé ». Avant de relater la suite des événements : «Après m’avoir dit qu’il y aurait peu de chance que le bébé survive, je me suis retrouvée toute seule, la sage-femme ayant disparu tout comme les deux aides-soignantes».

L’hôpital assure que le bébé n’était pas viable parce que le foetus avait moins de 25 semaines et pesait moins de 650 grammes à la naissance. Il dit avoir eu affaire à une «fausse couche tardive en cours d’expulsion». L’hôpital a assuré que les effectifs présents étaient conformes à la réglementation, sans préciser s’il parlait des effectifs dans l’établissement ou en salle de travail.

Un examen médical doit également être pratiqué sur la mère.

Retrouvez son témoignage sur BFMTV.

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