Faites cuire le riz selon les instructions portées sur l’emballage.
Pendant ce temps, dans un bol, mélangez le nuoc mam, le jus de citron, la sauce soja, le sucre et la pâte de curry. Réservez.
Pelez et émincez les oignons, l’ail et le gingembre. Rincez les pois mange tout et coupez-les en morceaux. Faites chauffer l’huile dans un wok et faites revenir les oignons. Ajoutez l’ail, le gingembre et les pois mange tout et faites cuire pendant 5 à 8 minutes en mélangeant souvent.
Versez la sauce, mélangez et laissez cuire 1 minute. Incorporez le riz cuit et les crevettes et poursuivez la cuisson environ 1 minute.
Ajoutez l’œuf battu et laissez cuire 2 minutes en mélangeant.
Parsemez de basilic ciselé et de noix de cajou concassées et servez.
Astuces et conseils pour Riz thaï aux crevettes et noix de cajou
Vous pouvez ajouter 1 cuil. à soupe d’oignons frits
Dans une casserole, chauffez l’eau avec le sucre, les graines de cardamome et l’eau de rose. Lorsque votre sirop bout, plongez-y vos poires. A la reprise de l’ébullition, pochez vos poires 15 minutes sur feu doux.
Hors du feu, laissez refroidir vos poires dans le sirop.
Égouttez vos poires.
Astuces et conseils pour Poires pochées à l’eau de rose et cardamome
Accompagnez ces poires pochées d’un gâteau à la noix de coco.
Une journaliste du « Wall Street Journal », que la Chine souhaite expulser, va finalement rester à Wuhan le temps de la quarantaine qui frappe la ville, épicentre du coronavirus.
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PUBLIÉ LE 26/02/2020 À 01:13
L’illustration de la quadrature du cercle. Une journaliste du Wall Street Journal (WSJ) qui est dans le viseur des autorités chinoises au point qu’on lui a demandé de quitter le pays, doit finalement rester sur place et pour cause : elle est placée en quarantaine, comme tous les autres habitants de la ville de Wuhan.
Épicentre de l’épidémie de coronavirus, la cité est verrouillée depuis la fin du mois de janvier. La journaliste Chao Deng, avec deux de ses collègues, qui ont quitté lundi 24 février le territoire chinois, fait l’objet d’une mesure d’expulsion en représailles au titre d’une tribune parue dans le quotidien américain et jugé raciste par Pékin.
En pleine épidémie de coronavirus, le régime communiste a mal pris l’article intitulé : « La Chine est le véritable homme malade de l’Asie ». Cette expression est apparue au XIXe siècle pour décrire la Chine à l’époque coloniale. Elle est considérée comme offensante dans le pays asiatique.
Devant le refus du Wall Street Journal de présenter des excuses, les autorités chinoises ont retiré aux trois correspondants leur carte de presse, condition de l’obtention d’un permis de séjour en Chine.
Mais interdite de partir de Wuhan, la journaliste n’a pas pu quitter le territoire chinois pour l’instant. « Pour des raisons humanitaires, nous lui permettrons de rester à Wuhan, mais elle ne pourra pas mener d’interviews« , a indiqué mardi 25 février Zhao Lijian, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
« Une fois l’épidémie terminée, nous l’autoriserons à partir dans les plus brefs délais », a-t-il précisé lors d’une conférence de presse. Le président américain Donald Trump a affirmé mardi qu’il prendrait bientôt une décision en réponse à l’expulsion par la Chine des journalistes du Wall Street Journal. « Nous allons nous pencher sur ce dossier, c’est quelque chose que je n’aime pas voir« , a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à New Delhi
CORONAVIRUS – L’épidémie de coronavirus avance toujours plus en dehors de la Chine où elle est née en décembre 2019. Nombre de cas, morts, carte en temps réel, mesures en France, conseils d’hygiène…. Dernières infos.SOMMAIRE
[Mise à jour le samedi 29 février à 13h04] L‘épidémie de coronavirus Covid-19s’intensifie dans le monde. Le dernier bilan fait état de 85 406 personnes infectées par le virus SARS-CoV-2 et 2933 décès. En France, 19 nouveaux cas ont été annoncés vendredi 28 février ce qui porte à 57 le nombre de personnes touchées dans le pays par la maladie.« Une nouvelle étape de l’épidémie est franchie » a indiqué le ministre de la Santé Olivier Véran lors du point presse.Dans le monde, 50 pays ont détecté au moins 1 cas et plus de 20 pays ont détecté leur premier cas au cours de la semaine passée.
Dernières infos :
Trois soignants de l’hôpital Tenon a Paris ont été testés positifs au coronavirus. Ils auraient été contaminés par un patient originaire de l’Oise et hospitalisé depuis le 21 février dans l’établissement. Les deux premiers soignants testés positifs « ont été hospitalisés dans le service de maladies infectieuses de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière [à Paris, établissement de santé de référence.
19 nouveaux cas de coronavirus sont annoncés en France le 28 février, dont 6 cas dans l’Oise, département le plus touché du pays (18 cas au total).
Plus de 800 cas sont rapportés en Corée du Sud samedi 29 février. C’est le deuxième pays le plus touché dans le monde après la Chine.
Plusieurs matchs de football sont reportés en Italie à cause de l’épidémie de coronavirus.
A Hong Kong, le chien d’une femme atteinte du coronavirus a été placé en quarantaine après que des échantillons prélevés sur l’animal aient été testés positifs au coronavirus.
Le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer a indiqué le 28 février sur Europe 1 qu’environ « 2 000 élèves » n’ont pas repris l’école après les vacances scolaires parce qu’ils revenaient de zones à risque et sont donc restés chez eux pour 14 jours (durée d’incubation du virus). Le ministère prévoit de mettre en place un dispositif d’école à distance.
Un cinquième passager du paquebot « Diamond Princess » est décédé. Ce bateau est en quarantaine au large du Japon depuis un mois. Certains passagers ont quitté le navire pour retrouver leur pays, d’autres y sont restés.
80% des formes de coronavirus sont toujours mineures, 15% de formes sévères et 5% de formes graves qui nécessitent le placement en réanimation. Aucune forme grave ni de décès n’est à déplorer chez des enfants.
Le pays d’Europe le plus touché est l’Italie avec 889 contaminations et 17 morts enregistrés en seulement quelques jours. Dans ce contexte, les Français sont invités à reporter leur voyage en Italie.
La province de Hubei, berceau de l’épidémie en Chine représente encore 96% des cas de coronavirus.
« Lavez-vous les mains toutes les heures, éternuez dans votre coude. Utilisez des mouchoirs à usage unique. Je recommande désormais, et pour une période qui reste à déterminer, d’éviter la poignée de main. »
Les cas de contamination au coronavirus en France ont connu une nouvelle augmentation dans la journée du 28 février avec 19 nouveaux cas annoncés par le ministre de la Santé à 20 heures, dont 6 dans le seul département de l’Oise. Ce qui porte à 57 le nombre de Français contaminés par le coronavirus depuis le mois de janvier.
43 patients atteints de Coronavirus COVID-19 sont hospitalisés au 28 février.
12 personnes ont été soignées et sont sorties de l’hôpital.
Deux patients sont décédés, un patient chinois de 80 ans le 14 février à Paris et un Français de 60 ans le 26 février dans l’Oise.
18 cas dans l’Oise (notamment dans les villes de Vaumoise et de Creil) en lien avec l’homme hospitalisé à Amiens toujours en réanimation et l’enseignant de l’Oise décédé le 26 février à Paris. Il s’agit de contacts professionnels ou familiaux. Ces personnes sont notamment hospitalisées à Nantes, Lille, Dijon, Béjin à Saint-Mandé, Compiègne et Tenon. Certaines écoles de l’Oise seront fermées la semaine prochaine.
des cas contacts c’est-à-dire des personnes qui ont été en contact avec un malade déjà identifié. Il s’agit de l’homme qui avait été guéri du coronavirus à Annecy et a ensuite contaminé 6 personnes.
6 personnes ayant participé à un voyage organisé en Egypte.
2 cas isolés à Montpellier.
Un cas isolé à Bichat (Paris), de retour d’Italie.
1 cas à Nice, une femme revenant de Milan.
2 cas supplémentaires en Haute-Savoie dans la commune de Balme-de-Sillingy.
Augmentation des capacités de diagnostic biologique, la capacité est désormais de 1500 tests par jour contre 400 avant l’arrivée du coronavirus. Dès la semaine du 24 février, plusieurs milliers de tests pourront être réalisés quotidiennement pour répondre au besoin.
Mise à disposition d’un guide questions-réponses à destination de tous les professionnels de santé.
Commande de plusieurs millions de masques FFP2 pour les professionnels de santé.
138 établissements de santé peuvent accueillir les malades du coronavirus.
Un hôpital de référence a été désigné dans chacun des départements et régions d’outre-mer.
Mise en place d’un numéro vert pour toutes questions sur le coronavirus : 0.800.130.000 (appel gratuit)
L’épidémie de coronavirus complique les déplacements à l’étranger. Le gouvernement déconseille les voyages en Chine. Plusieurs conseils aux voyageurssont affichés dans les aéroports : ne pas manger de viande crue, se laver les mains, ne pas toucher d’animaux… La mise en place de portails thermiques pour détecter la température des voyageurs n’est pas envisagée en France alors qu’elle existe dans d’autres pays en raison d »une « absence d’efficacité » a expliqué le Pr Jérôme Salomon, « On n’a jamais réussi à capter la majorité des cas par ce dispositif. Ce n’est pas la bonne technique, ça rassure visuellement mais le dispositif doit être beaucoup plus fin, la vraie réponse est soignante : pouvoir examiner et tester un patient à l’aéroport ».Lire l’articleCoronavirus et voyage : pays à risque, recommandations aux voyageurs
Le port du masque chirurgical est recommandé si vous avez séjourné en Chine (Chine continentale, Hong Kong, Macao), à Singapour, en Corée du Sud, en Iran, ou dans les régions de Lombardie et de Vénétie en Italie, pendant les 14 jours suivant leur retour. Il est également recommandé si vous êtes malades pour éviter de diffuser la maladie par voie aérienne. Il n’est pas recommandé dans les autres cas.
Les masques dits chirurgicaux sont des masques anti projections qui protègent les autres de vos symptômes. Il est réservé aux malades ou aux personnes contacts potentiellement contagieuses.
Les masques de protection respiratoire type FFP2 sont réservés aux professionnels de santé (transport sanitaire, pompiers, médecins libéraux, infirmiers…) qui réalisent des gestes à risque qui peuvent les contaminer (examiner, intuber un malade…).
Les premiers symptômes d’une infection au coronavirus ressemblent à ceux de la grippe : fièvre, toux, douleurs musculaires, fatigue... puis elle dégénère et se caractérise par des difficultés à respirer. « La maladie démarre de façon bénigne et puis vers le 8e jour ou 10e jour, il y a un certain nombre de patients qui s’aggravent de façon conséquente, c’est un processus pas très habituelle en maladie infectieuse » remarque le Dr Catherine Leport, responsable de la mission Coreb lors d’une table ronde au Sénat le 26 février 2020. Il existe des formes asymptomatiques et bénignes, ce qui distingue ce nouveau coronavirus du virus du Sras (un autre coronavirus) qui ne se manifestait que par des formes sévères, et retarde le diagnostic.
En cas de signes d’infection respiratoire dans les 14 jours suivant le retour de Chine (Chine continentale, Hong Kong, Macao), de Singapour, de Corée du Sud, ou d’Italie :
Contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et du séjour récent en Chine (Chine continentale, Hong Kong, Macao), de Singapour, de Corée du Sud, ou des régions de Lombardie et de Vénétie en Italie.
Évitez tout contact avec votre entourage et conservez votre masque.
Ne pas se rendre chez son médecin traitant ou aux urgences, pour éviter toute potentielle contamination.
Un virus qui se transmet bien plus par les mains que par la salive : lavez-vous les mains souvent !
« On est face à un virus contagieux, qui se transmet par voie respiratoire ce qui n’est évidemment pas la voie la plus aisée à combattre, qui est potentiellement contagieux quelques heures avant l’apparition des symptômes ou chez des personnes qui ont peu de symptômes » a déclaré le Pr Jérôme Salomon, directeur général de la Santé au Sénat le 26 février. Cette contagion spécifique au Covid-19 « laisse beaucoup moins de temps pour diagnostiquer les malades et les isoler et rendra le contrôle de l’épidémie plus difficile« a souligné le Pr Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l’Institut Pasteur, le 26 février au Sénat.
Comme il n’y a ni vaccin, ni médicament efficace contre le coronavirus, le meilleur moyen de s’en protéger est l’application de mesures d’hygiène. Si beaucoup se ruent sur l’achat de masques, il faut savoir qu »ils n’ont « aucun sens si on ne se lave pas les mains puisqu’en pratique on touche des surfaces contaminées. l’hygiène des mains est donc fondamentale » a martelé le Pr Jérôme Salomon.Il est recommandé de se laver les mains après avoir toussé, éternué, avant et après avoir préparé à manger, avant de manger, après être allé aux toilettes, après avoir manipulé des animaux… Autre réflexe à prendre quand on sort de la maison : emmener du gel antibactérien avec soi pour désinfecter les mains en l’absence d’eau et de savon.
Une carte interactive montrant l’évolution de l’épidémie de coronavirus dans le monde en temps réel a été mise au point par l’éditeur de cartographie en ligne HERE Technologies. Basée sur des données du Center for Systems Science and Engineering (CSSE) de l’Université Johns Hopkins et de DXY, cette carte permet de suivre la progression du nombre de personnes infectées rapportées par les agences gouvernementales, ainsi que le nombre de décès.
Apparu en Chine en décembre 2019, le coronavirus y a fait de nombreuses victimes. Sur les 85 000 malades recensés dans le monde, 96% sont concentrés en Chine. Cependant depuis le 26 février, le nombre de nouveaux cas progresse davantage hors de Chine que dans ce pays. 31 régions de Chine sont touchées par l’épidémie.
Dans le pays, le virus est traité comme une maladie infectieuse de grade A indiquait la Commission nationale de la santé(seules la peste bubonique et le choléra sont classées comme maladies infectieuses de grade A en Chine) ce qui nécessite les mesures de prévention et de contrôle les plus strictes, y compris la mise en quarantaine obligatoire des patients et l’observation médicale pour ceux qui ont été en contact étroit avec des patients.
Le 6 février, le Dr Li Wenliang qui travaillait dans un hôpital de Wuhan et a lancé l’alerte sur la dangerosité du virus auprès de ses collègues le 30 décembre 2019 est décédé à cause du coronavirus. Âgé de 34 ans, cet ophtalmologiste avait été diagnostiqué positif au virus le 30 janvier.
Plus de 20 vaccins sont en cours de développement dans le monde et plusieurs thérapies sont en cours d’essais cliniques pour venir à bout de ce nouveau coronavirus qui tétanise le monde. Les premiers résultats devraient survenir dans quelques semaines selon l’OMS.Lire l’articleVaccin contre le coronavirus : quand, comment ?
DATES CLÉS DE L’ÉPIDÉMIE
Le 31 décembre 2019, l’Organisation mondiale de la Santé en Chine est informée de plusieurs cas de pneumonies dans la ville de Wuhan. 44 personnes sont infectées entre cette date et le 3 janvier 2020.Le 7 janvier 2020, les autorités chinoises identifient un « nouveau type de coronavirus ».Le 13 janvier, un cas importé est recensé en Thaïlande.Le 15 janvier, le virus cause la mort d’une première personne à Wuhan, un homme de 69 ans. Le 23 janvier, trois villes chinoises dont Wuhan sont placées en quarantaine.Le 25 janvier, trois personnes contaminées sont recensées en France, deux à Paris et une Bordeaux. Ce sont les premiers cas enregistrés sur le continent européen.Le 30 janvier, l’Organisation mondiale de la Santé décrète l’urgence de santé mondiale. Cette mesure n’avait été décrétée que 5 fois depuis sa création (pour Ebola (deux fois), la grippe H1N1, Zika et la poliomyélite). Le 28 février, la France passe en stade 2 de l’épidémie.
Mercredi, à Los Angeles, un homme a dérobé devant une église un véhicule dans lequel était resté un cadavre. Une course-poursuite s’est donc opérée jeudi pour interpeller le voleur… et récupérer le corps.Par AFP – Hier à 09:00 | mis à jour à 09:05 – Temps de lecture : 1 min | Vu 7139 fois
Drôle de surprise mercredi pour un voleur… L’homme s’est retrouvé avec un cadavre comme passager dans le véhicule SUV qu’il venait de voler devant une église de Los Angeles en Californie.
Le véhicule avait été laissé avec le moteur qui tournait devant l’église, pendant que le chauffeur débarquait un autre corps, a indiqué à l’agente de police du comté de Los Angeles Grace Medrano.
Un deuxième cadavre était cependant resté dans le SUV au moment du vol…TMZ✔@TMZ
Dans un message publié sur Twitter, le bureau du shérif a appelé le suspect à restituer le corps du défunt.
Le voleur finalement interpellé jeudi matin
Le suspect a finalement été arrêté jeudi matin, après une course-poursuite qui s’est terminée par un accident sur l’autoroute, le SUV entrant en collision avec une autre voiture.FOX 11 Los Angeles✔@FOXLA
#BREAKING: Police have located a black Lincoln Navigator believed to be the hearse stolen outside a Pasadena church with a body inside. http://bit.ly/2TjxDP8
Le petit garçon a subi l’horreur lors d’un voyage au camping, pour la simple raison qu’il avait mangé une part de gâteau…Capture vidéo The Mirror
Le papa de la honte se trouve sans nul doute dans l’Arkansas. Puni pour avoir mangé une part de gâteau sans autorisation lors d’un voyage au camping dans le Missouri, Isaiah a subi l’horreur. Le petit garçon de 6 ans a en effet été violé avec un bâton par Mauricio, son papa. Il est mort des suites de ses blessures et d’une infection provoquée par le viol.
Suspecté dans le passé de meurtre et de coups et blessures, l’homme de 50 ans, qui se retrouve une nouvelle fois face aux juges, nie les faits et plaide non coupable, relate Arkansas Online.
Pire encore, la maman de la pauvre petite victime aurait également participé à l’agression en poussant son fils au sol. Contrairement à son homme, Cathy plaide coupable. Elle écope de la perpétuité.
S’il est reconnu coupable du meurtre d’Isaiah, Mauricio risque la réclusion à perpétuité, voire la peine de mort.
Il n’y aura donc pas de vote pour l’adoption en première lecture du texte.
Édouard Philippe a sonné la fin des débats chaotiques à l’Assemblée nationale sur le projet de réforme des retraites. «Conformément à l’article 49 alinéa 3 de notre constitution, après en avoir obtenu l’autorisation du conseil des ministres», a lancé le premier ministre samedi 29 février, «j’ai décidé d’engager la responsabilité du gouvernement».
Conformément à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution de 1958 et après en avoir obtenu l’autorisation du Conseil des ministres du 29 février, j’ai décidé d’engager la responsabilité du Gouvernement sur le projet de loi instituant un système universel de retraites.
Le texte prévoit le retrait progressif des troupes américaines en Afghanistan et l’ouverture de négociations de paix avec le gouvernement afghan.
Les Etats-Unis et les talibans ont signé, samedi 29 février à Doha, au Qatar, un accord historique qui doit permettre leretrait sous quatorze mois des troupes américaines d’Afghanistan après dix-huit ans de présence — la plus longue guerre des Etats-Unis — et l’ouverture de négociations de paix avec le gouvernement afghan. Il a été signé après une semaine de « réduction de violence » en Afghanistan, préalable à la signature de l’accord.
Le secrétaire d’Etat américain, Mike Pompeo, a confirmé, peu avant la signature de l’accord, un retrait graduel et immédiat des troupes américaines. Mais les Etats-Unis « n’hésiteront pas à annuler l’accord » si les talibans l’enfreignent, a affirmé à Doha Mark Esper, le secrétaire à la défense américain. Les négociations entre les talibans et le gouvernement de Kaboul doivent, elles, s’ouvrir le 10 mars, a précisé Mike Pompeo.
Peu avant la signature de l’accord, les talibans ont ordonné la suspension de toutes leurs opérations militaires en Afghanistan. Il s’agit de la deuxième interruption complète des attaques talibanes depuis le début du conflit à la fin de 2001, après un cessez-le-feu de trois jours en 2018.
Les deux parties se sont également accordées pour échanger des prisonniers. « Plus de 5 000 prisonniers talibans et plus de 1 000 prisonniers (des forces afghanes soutenues par Washington) seront libérés d’ici le 10 mars », expose l’accord.
L’accord doit mettre fin à la plus longue guerre de l’histoire des Etats-Unis. L’invasion de l’Afghanistan, décidé par Georges W. Bush à la suite des attentats du 11 septembre 2001, avait chassé les talibans du pouvoir central, mais sans jamais réussir à unifier le pays. Les Etats-Unis ont dépensé plus de 750 milliards de dollars (680 milliards d’euros) dans cette guerre dont près de 2 000 GI ne sont jamais revenus.Lire notre analyse : L’Afghanistan n’a jamais été aussi proche de la paix
Une signature américaine repoussée en septembre
C’est de cette « guerre sans fin » que Donald Trump veut sortir, afin de « ramener les gars à la maison », et réaliser l’une de ses promesses de campagne. Les négociations, engagées secrètement en juillet 2018 entre Américains et talibans, étaient sur le point d’aboutir en septembre dernier, avant que le président américain n’annule au dernier moment une signature prévue à Camp David, près de Washington.
Depuis, il a vivement soutenu son envoyé spécial pour ces négociations, l’ancien ambassadeur américain à Kaboul Zalmay Khalilzad. « Nous sommes à l’orée d’une opportunité historique pour la paix », avait assuré à l’approche de la signature le chef de la diplomatie américaine tandis qu’un chef des talibans, Sirajuddin Haqqani, affirmait dans le New York Times que « tout le monde » était « fatigué de la guerre ».
Malgré les critiques de certains observateurs qui estiment qu’elle concède trop pour trop peu, l’administration Trump assure que les garanties antiterroristes fournies par les insurgés répondent à la raison première de l’intervention américaine, les attentats du 11-Septembre.
Le gouvernement afghan doit prendre la suite
Parallèlement à la signature à Doha, les Etats-Unis devaient organiser samedi, selon des médias afghans, une cérémonie avec le gouvernement afghan à Kaboul.
Celui-ci a dépêché dans la capitale qatarienne (où une trentaine de pays sont représentés) une petite délégation pour une « première prise de contact » avec les talibans. Après ces cérémonies, des négociations interafghanes devraient ensuite commencer relativement rapidement, dans une ville à déterminer — la capitale norvégienne, Oslo, a été évoquée par le passé.
Selon l’Organisation des Nations unies (ONU), entre 32 000 et 60 000 civils afghans ont été tués dans ce conflit.
Au delà du football, la soirée a pris un tour dramatique vendredi soir dans les tribunes du stade des Costières, alors que l’OM s’imposait 3-2 contre Nîmes. Comme le rapporte le Midi Libre, un supporter des Crocos est mort en tribune durant la rencontre, probablement d’un malaise cardiaque.
Les secours n’ont pas pu le réanimer
Une information confirmée au quotidien local par le club nîmois. L’homme, âgé de 38 ans, aurait succombé à un malaise cardiaque malgré l’intervention des secours, qui ont tenté de le réanimer sur place. Les causes de la mort du supporters devraient être précisées après une autopsie.
Sur le terrain, le Nîmes Olympique s’est incliné malgré une fin de match plus convaincante, battu sur un triplé d’un Dario Benedetto ultra réaliste, trois fois buteur… sur trois tirs tentés.