Archive for the ‘Tech’ Category
10 Most Unusual Vehicles
Posted in Tech on janvier 11, 2019| Leave a Comment »
Buses That Can Step Over Traffic – Amazing Gyroscopic Transport Concept
Posted in Tech on janvier 4, 2019| Leave a Comment »
8 AMAZING ELEVATORS AND LIFTS You Wont Believe Exist
Posted in Tech on janvier 3, 2019| 3 Comments »
Un nouveau record de vitesse a été atteint par la technologie Hyperloop mais on est encore loin du but
Posted in Tech on juillet 24, 2018| Leave a Comment »
Au cours d’une compétition organisée par SpaceX, des étudiants allemands ont propulsé un Hyperloop à la vitesse record de 457 km/h.
En décembre, la société Virgin Hyperloope One de Richard Branson battait un record de vitesse de son train hypersonique dans le désert de l’Arizona en portant la vitesse de l’engin à 397 km/h.
Mais ce record vient d’être sèchement battu par des étudiants de l’Université technique de Munich. Ce week-end, au cours d’une compétition annuelle organisée par SpaceX, l’équipe de WARR Hyperloop a propulsé leur module à la vitesse de 457 km/h, 50 % plus vite que l’an passé.
Course contre la montre
Elon Musk, qui a lancé le concept d’Hyperloop en 2013, avait même fait le déplacement sur le rail de 1 300 mètres de SpaceX, situé à Hawthorne, dans la banlieue de Los Angeles.
Le patron de SpaceX cherche toujours à réduire les temps de trajet sur terre et ce genre de compétition aide son entreprise à découvrir des projets qui lui permettront d’atteindre son objectif : relier San Francisco à Los Angeles en 30 minutes, là où il faut actuellement 90 minutes en avion et près de 6 heures en voiture quand ça roule. Le nouveau record ramènerait le temps de trajet à 80 minutes environ.
Pour atteindre l’objectif d’Elon Musk, il faudrait atteindre 1 200 km/h, ce qui nécessitera encore de sérieuses améliorations au fil des années pour gagner encore ces 750 km/h qui manquent.
Modern Furniture Space Saving Ideas – You Need to See 2018
Posted in Tech, Uncategorized on juillet 20, 2018| 1 Comment »
The Boring Company va installer ses trains ultra-rapides à Chicago
Posted in monde, Tech, Uncategorized on juin 16, 2018| 4 Comments »
Après avoir signé un partenariat avec la société gérant les métros de Los Angeles pour la construction de tunnels souterrains, et mis en ligne la première vidéo de démonstration, l’entreprise d’Elon Musk concrétise ses projets de trains souterrains du futur. The Boring Company vient de signer un accord avec la mairie de Chicago pour concevoir un train ultra rapide reliant le centre-ville à l’aéroport international O’Hare. C’est la première fois qu’une ville américaine est prête à aller au-delà de la preuve de concept pour véritablement s’engager avec la société, qui fabrique aussi des lance-flammes.
Lors d’une conférence de presse commune, le jeudi 14 juin, Elon Musk et Rahm Emanuel, maire de Chicago, ont affirmé vouloir démarrer la construction du projet dans les trois à quatre prochains mois. « Nous sommes très enthousiastes à l’idée de travailler avec le maire (de Chicago) et la Ville pour apporter ce nouveau système de transport public à grande vitesse à Chicago », s’est réjoui The Boring Company sur Twitter.
Tesla dans la boucle
The Boring Company devra creuser deux tunnels sous Chicago pour installer le train en question, baptisé Chicago Express Loop. Celui-ci transportera les passagers dans des voitures électriques à sustentation magnétique – comme à Los Angeles – qui circuleront à une vitesse pouvant atteindre les 240 kilomètres à l’heure. Ce qui réduira un trajet d’environ 50 minutes (sans bouchons) à une dizaine de minutes.
Ces « voitures » pourront embarquer 16 personnes et leurs bagages. À terme, une voiture devrait quitter le centre-ville et une autre l’aéroport toutes les trente secondes. Elles seront conçues à partir du châssis modifié du SUV Model X de Tesla.
Bien évidemment, Elon Musk compte sur l’expertise de ses deux entreprises phares, Tesla et SpaceX, pour participer à la conception du projet à grande échelle. « Nous disposons de la technologie de véhicules électriques et autonomes la plus avancée au monde et nous pouvons l’exploiter pour le tunnel », a-t-il déclaré à l’issue de la conférence de presse.
Avec The Boring Company, Elon Musk a trouvé une variante miniature (moins rapide, sur des trajets plus courts) au fameux Hyperloop, qu’il avait lui-même popularisé en 2013. Parallèlement à l’engouement que peut provoquer ce concept de « trains/métros du futur », ce sont aussi les prix proposés par Musk qui attirent la curiosité. Les trajets à Los Angeles avec The Boring Company coûteront aux passagers un dollar seulement, tandis qu’à Chicago ils devraient coûter « moitié moins qu’un taxi », a-t-il annoncé. Pour la mairie, c’est visiblement un maigre risque : The Boring Company et des investisseurs privés devraient prendre en charge l’essentiel des dépenses du projet, a affirmé le maire de la ville.
Un projet à la méthode Musk
Quiconque s’intéresse un tant soit peu aux activités de l’entrepreneur sud-africain connaît sa propension à promettre monts et merveilles dans un temps record, à grand coup d’effets d’annonce et de communication sur les réseaux sociaux.
Elon Musk l’assure : le premier tunnel pourrait être prêt dans les 18 à 24 mois après le début des travaux. « Je dirais qu’il est peu probable que cela prenne plus de trois ans », pour que le premier tunnel ouvre ses portes au public. Il a également souligné les possibilités qu’offre la ville de Chicago, visiblement moins portée sur la bureaucratie que d’autres villes américaines. « Dans certains endroits, vous pouvez devoir faire face à 10 à 15 autorités différentes pour être en mesure d’obtenir l’autorisation pour réaliser quelque chose. C’est pourquoi nous voulons faire ce qui sera la première version publique de The Boring Company à Chicago. »
Depuis mercredi, les critiques sur la viabilité du projet se sont multipliées, tant sur les questions financières que techniques. Le Chicago Tribune souligne ainsi que le budget d’un milliard de dollars, correspondant à la construction des tunnels et la mise en place du service selon les sources du quotidien local, semble particulièrement ridicule face aux ambitions de The Boring Company. Par ailleurs, d’un point de vue purement logistique, l’entreprise d’Elon Musk n’a pas encore produit à grande échelle de voitures pour ses trains. Il s’agira de « la première tentative de l’entreprise », comme le souligne The Verge.
La valise-étagère, l’invention qu’il nous manquait pour plier et ranger nos vêtements en voyage
Posted in Tech on janvier 11, 2018| 4 Comments »
On a trouvé la valise parfaite pour partir en vacances.
L’équipe éditoriale de Mashable FR ne prend aucune commission sur l’achat de ce produit. Si nous avons décidé de vous en parler, c’est simplement parce que nous le trouvons intéressant.
À chaque départ en vacances, c’est la même rengaine : avant de partir se vautrer sous le soleil, il faut bien faire sa valise.
Cette exercice est ô combien laborieux pour une grande majorité d’entre nous. Entre le trop plein de vêtements et un sérieux manque de compétences quand il s’agit de plier efficacement un t-shirt (ou une robe, un paréo), les sacs et autres valises finissent par ressembler à une corbeille de linge sale.
Conscient de ce mal des temps modernes, Ken McKaba, un ancien ingénieur logiciel, a décidé de tous nous venir en aide. Cet Américain a conçu ShelfPack, une valise qui se transforme en petite étagère. Composé de 4 étages, le bagage pèse environ 6 kg. Une fois déplié, il mesure 107 cm de haut et permet de mieux organiser pantalons, t-shirts et autres sous-vêtements.
La valise comporte trois petites pochettes supplémentaires. Idéal pour ranger ses produits d’hygiène. Pour ce qui est du linge sale, plusieurs utilisateurs recommandent de le mettre dans le dernier compartiment de la valise afin d’éviter les mauvaises odeurs. Vendu 400 dollars, ShelfPack a été victime de son succès. À ce jour, le produit est en rupture de stock. On va galérer à faire notre valise pendant quelques mois encore.
Chine: le caca du panda recyclé en mouchoirs
Posted in Tech, Uncategorized on décembre 30, 2017| 1 Comment »
Une entreprise chinoise a flairé la bonne affaire: elle va recycler les fibres des excréments de panda afin de produire du papier toilette, des mouchoirs ou encore des nappes, a annoncé mercredi un média d’Etat.
La firme papetière Qianwei Fengsheng, basée dans la province du Sichuan (sud-ouest), collabore avec le Centre de protection et de recherche sur le panda géant afin de valoriser les crottes et les déchets alimentaires de l’ursidé.
Les produits seront bientôt commercialisés en Chine au sein d’une gamme de produits fièrement labellisés « caca de panda » et décorés d’une image du mammifère au pelage noir et blanc.
« Ils s’occuperont des déchets à notre place », s’est réjoui un chercheur du centre des pandas, Huang Yan, cité par le journal local Chengdu Business Daily.
Les 10 kg d’excréments générés chaque jour par un panda adulte sont riches en fibres, car l’animal se nourrit exclusivement de tiges de bambous, a indiqué l’employé à l’agence officielle Chine nouvelle.
En plus de ces précieuses déjections, « l’ours-chat », comme l’appellent les Chinois, produit environ 50 kg de déchets alimentaires: les grumes végétales qu’il recrache après mastication.
La fabrication de papier à partir du bambou nécessite d’en éliminer le fructose afin d’extraire les fibres: une étape qui intervient naturellement dans l’appareil digestif du panda, explique Yang Chaolin, le président de l’entreprise papetière, cité par Chine nouvelle.
La firme Qianwei Fengsheng viendra collecter la matière première plusieurs fois par semaine dans trois réserves de pandas. Une fois bouillie, pasteurisée et transformée en papier, la précieuse substance sera analysée pour garantir l’absence de bactéries.
Une boîte de mouchoirs « caca de panda » sera vendue au tarif prohibitif de 43 yuans (5,50 euros), bien plus cher qu’un produit classique.
« Les pandas ont ce qu’ils veulent et nous aussi. C’est une opération gagnant-gagnant », résume M. Yang.
Le premier vrai chargeur sans fil et sans contact existe désormais
Posted in Tech on décembre 29, 2017| 1 Comment »
Nous ne serons bientôt plus obligés de choisir « la place à côté de la prise », mine de rien.
La Federal Communications Commission des États-Unis a approuvé mardi 26 décembre le tout premier « vrai » chargeur sans fil, ne nécessitant pas que l’appareil à recharger soit posé sur une base à induction.
Depuis plusieurs années, certains smartphones peuvent être rechargés sans avoir à être branchés, grâce à la technologie Qi de chargement à induction. Pour se faire, il suffit de poser l’appareil sur une base dédiée, afin qu’il s’alimente en énergie. Mais l’entreprise californienne Energous est allée plus loin en crééant le tout premier chargeur sans fil capable de recharger les appareils compatibles présents dans un rayon de 90 centimètres sans jamais les toucher.
Le dispositif, baptisé « WattUp Mid Field », a été conçu pour pouvoir alimenter plusieurs appareils en même temps grâce à un procédé énergétique qui transforme l’électricité en ondes radio, reçues puis reconverties en électricité par l’appareil en charge.
« Le chargement sans fil – comme celui d’un bracelet connecté que l’on est en train de porter – est exactement ce que les consommateurs attendaient », explique l’entreprise dans un communiqué de presse.
Energous présentera ce nouveau produit au CES 2018, qui commencera le 9 janvier prochain à Las Vegas.
Les trois meilleurs PC ultraportables du moment
Posted in Tech on juillet 3, 2017| 1 Comment »
TEST – De plus en plus compacts et légers, les ordinateurs poids plume veulent prendre la place des portables traditionnels comme le prouvent trois modèles récents.
A-t-on encore besoin d’un gros ordinateur portable, lourd et encombrant, quand il s’agit de travailler dans le train ou dans l’avion, ou même chez soi d’une pièce à l’autre? La réponse se trouve du côté des ultraportables, ces ordinateurs extrafins et extralégers qui s’inspirent des tablettes. De plus en plus performants, ils n’ont rien à envier aux PC portables habituels et s’offrent même le luxe de proposer un écran tactile qui s’utilise du bout du doigt ou avec un stylet. Particulièrement bien adaptés aux applications bureautiques comme Word et Excel, avec leur clavier confortable, ils font parfaitement l’affaire pour naviguer sur Internet, regarder des vidéos et jouer. Bref, une solution à étudier pour les habitués de Windows en quête de mobilité. Les inconditionnels d’Apple, eux, se rabattront sur le MacBook. Revers de la médaille, ces modèles sont dépourvus de lecteur de CD/DVD et leurs connecteurs se réduisent au minimum: une ou deux prises USB, une sortie audio et une autre pour transférer l’affichage et, parfois, un lecteur de cartes mémoire MicroSD. Mais pas de HDMI ni de prise Ethernet. Il faudra faire avec le Wi-Fi. Leur stockage se limitant à quelques centaines de giga-octets, il vaudra mieux prévoir un disque externe ou des cartes mémoires pour emporter des films en voyage. Voici notre sélection des modèles de 13 pouces les plus emblématiques.
Un petit gabarit généreux: Dell XPS 13 2 en 1
Extrafin (13 mm au maximum), superléger (1,2 kg), silencieux et rapide, ce modèle illustre bien la tendance des ultraportables actuels. Certes, une fois ouvert, le design déçoit un peu: clavier noir sur fond noir, grosses charnières métalliques sous l’écran. Et, bizarrement, la webcam n’est pas située au sommet de l’écran mais à sa base, entre les deux charnières… L’écran en question, d’une diagonale de 13,3 pouces, occupe pratiquement toute la surface. L’affichage de 1920 × 1 080 points offre une excellente lisibilité et restitue parfaitement les films en Full HD. Il suffit de basculer entièrement l’écran, tactile, vers l’arrière, contre le dos du clavier, pour utiliser le XPS comme une tablette. On peut aussi l’incliner plus ou moins et placer l’appareil tête-bêche, en mode tente, pour afficher une présentation ou un film. Le clavier, rétroéclairé, plutôt confortable, s’adapte bien à la saisie rapide. À droite du trackpad, le capteur d’empreintes digitales se montre très efficace. En dépit de son profil très fin, ce modèle est équipé de deux prises USB-C, dont l’une sert à recharger la batterie et l’autre permet de transférer l’affichage, d’un lecteur de carte MicroSD et d’une sortie audio minijack.
Le lancement des applications, l’ouverture des fenêtres et la navigation sur Internet sont rapides, même si notre machine de test s’est révélée assez capricieuse, quittant brutalement certaines applications. Nous avons quand même pu regarder des vidéos en 4K et essayer des jeux graphiques assez exigeants comme Asphalt 8 ou March of Empires. Il ne faudra cependant pas trop lui demander si on pratique le montage vidéo ou la modélisation en 3D. En utilisation moyenne, le XPS offre une autonomie de plus de 10 heures. Enfin, son prix est plutôt raisonnable: de 1 399 € (mémoire de 4 Go, stockage SSD de 128 Go) à 1 899 € (8 Go et 512 Go).
Pour travailler et se divertir: HP Spectre ×360
Récemment actualisé, il est l’un des plus élégants et des moins chers de sa catégorie. Particulièrement fin (13,9 mm d’épaisseur) et léger (1,3 kg), il se compose d’un beau châssis en aluminium et peut se replier dans un sens ou dans l’autre pour s’utiliser comme un ordinateur, comme une tablette ou comme un écran de présentation. Ledit écran de 13,3 pouces, très lumineux, affiche parfaitement les films et les images dans une résolution Full HD (1 920 × 1 080). Qui plus est, regarder une vidéo sur ce modèle est un vrai plaisir grâce au système audio développé en collaboration avec Bang & Olufsen. Le son est précis et puissant. Le clavier d’excellente qualité rappelle celui d’un ordinateur de bureau avec ses touches bien espacées qui offrent une bonne course. Taper du texte dans Word se révèle très agréable.
En revanche, le Spectre 360 est moins bien adapté aux jeux gourmands et aux gros logiciels de 3D. En mode tablette, l’écran tactile réagit plutôt bien. Mais on regrette que l’appareil soit dépourvu de lecteur de carte SD. Il faudra importer les photos à partir d’une clé USB ou en Wi-Fi. Bien vu, ce modèle dispose, en plus de ses connecteurs USB-C, de connecteurs USB standard. On peut donc continuer à utiliser ses périphériques sans adaptateur. Son autonomie, d’une durée de 9 heures, n’est pas la plus spectaculaire… Le Spectre ×360 est actuellement en promotion: de 850 euros (4 Go de mémoire et 128 Go de stockage) à 2000 euros (16 Go et 512 Go).
La puissance à la carte: Microsoft Surface Book
C’est la réplique de Microsoft au MacBook Air d’Apple. Format identique (13,5 pouces, profil effilé de 13 à 23 mm d’épaisseur), poids identique (1,5 kg), finition identique (en magnésium d’un seul bloc)… On retrouve même le trackpad en verre et le clavier rétro éclairé. Mais à la différence de l’ultraportable d’Apple, le Surface Book dispose d’un écran tactile, qui plus est détachable. On peut donc l’utiliser comme un ordinateur ou l’installer à l’envers, pour faire une présentation par exemple, mais aussi retourner l’écran et l’abaisser sur le clavier pour s’en servir comme tablette tactile. D’ailleurs, ce modèle est livré avec un stylet qui permet de prendre des notes et de dessiner sur l’écran. Si la précision et la fluidité sont inférieures à celle de l’iPad Pro, on obtient quand même de bons résultats. En fonction de la configuration, le Surface Book pourra même remplacer un ordinateur musclé et faire tourner des applications professionnelles comme AutoCad ou Adobe Premiere. En version de base, ce produit se destine surtout à des usages bureautiques et familiaux. L’écran est superbe (3 000 × 2 000 pixels) et offre un affichage très lumineux idéal pour les jeux et pour regarder des films. Les deux haut-parleurs stéréo sont plutôt de bonne qualité. Le clavier, très agréable, est l’un des meilleurs que nous ayons testé. On trouve aussi deux prises USB standard, une sortie vidéo et un lecteur de cartes SD. Mais pas de prise Ethernet. Il faudra se contenter du Wi-Fi ou investir dans un adaptateur. En usage normal, le Surface Book peut atteindre une autonomie de 12 heures. Il faudra quand même y mettre le prix: de 1 649 € (8 Go de mémoire et 128 Go de stockage) à 3 649 € (16 Go et 1 To avec carte graphique Nvidia GeForce GTX 965M).